LES NOUVEAUTES DANS LA COLLECTION JIGAL POCHE
DEL PAPPAS : « LE JOBI DU RACATI »
Ça devait être une trilogie, mais emporté par son ardeur, DEL PAPPAS en est aujourd'hui à une « quatorzologie » ! Alors que son premier roman sort en Allemagne et en Italie, cette réédition en format poche de son troisième polar est comme un retour aux sources. Après le “Baiser du Congre” et “Bleu sur la Peau”, DEL PAPPAS met en scène dans son troisième polar, “Le jobi du Racati”, une nouvelle embrouille sous le cagnard de Marseille... Constantin, dit Le Grec, notre héros, est embarqué dans une histoire dans laquelle crime et politique, avidité et immobilier sont les quatre piliers de la cupidité.
« Dans cette engatse, fatche de con, ils m'ont tous pris pour un fada, un vrai jobi... Faut dire que tout était réuni pour un Noël de galère...! Ma girelle violoncelliste partie au bout du monde, le boulot qui n'était plus qu'un souvenir et le vent... un vent à décorner les taureaux. Même que... quand le mistral souffle comme ça, à Marseille, tout le monde s'attend au pire... Et là, question embrouilles, j'allais être servi. Nervis municipaux, intimidation, magouilles immobilières, racket, flingueurs tout droit sortis d'un film de série B, illuminés adorateurs de Satan, coups fourrés, fions et bugnes... Bref le pastisson qui me tombait sur la tête était de nature à faire regretter à n'importe quel Grec d'être né à Marseille ! »
Maurice GOUIRAN : « SOUS LES PAVES, LA RAGE » (Prix Virtuel du Polar, 2006)
« Mai 68, la France est en effervescence. Elle rêve et c'est déjà ça ! À Sainte Apostasie, les crânes de sept notables explosent sous des coups anonymes, ce qui, vous l'avouerez, ne facilite pas la réflexion ! À Marseille, Jackie et sa bande de l'Estaque découvrent les grèves, les manifs et la folle utopie qui va avec... En même temps, né sous X et obsédé par son passé, Jackie décide de rechercher la mère qu'il n'a jamais eue ! Quoiqu'il arrive, il veut savoir ! Pour retrouver ses racines, ses pas le mènent en Haute Provence, dans un de ces villages perchés aux ruelles tortueuses peuplées d'ombres, de mystères et de non-dits. En fouillant son passé, Jackie est alors confronté à une période particulièrement trouble de la fin de la guerre, l'épuration, qui vit surgir de nulle part ces résistants de la vingt cinquième heure s'érigeant bien vite en justiciers ! L'Histoire est un éternel recommencement, l'horreur, la haine et la connerie aussi ! »
Alain PUCCIARELLI: « MEURTRES A LA CITE RADIEUSE »
« ...une aventure dense qui sent bon l'irrévérence, l'impertinence, l'intelligence et le politiquement incorrect !...
une leçon de géopolitique.... Assez "trash" et provocateur dans la forme, mais aussi plein de finesse... » Polar Noir
« Oliveri est flic... Mais Oliveri n'est pas ce que l'on croit. Oliveri, Pied-Noir pur jus, grande gueule, alcoolique solitaire, fouineur invétéré, empêcheur de tourner en rond. Oliveri,
tueur à ses heures perdues, Oliveri amoureux désespéré. Oliveri qui se soigne au Johnnie Walker, Oliveri qui croque des gousses d'ail pour se donner du baume au coeur. Oliveri qui court comme un
dératé après Laura qui elle non plus n'est pas ce que l'on croit, Oliveri à la « Maison du Fada » au centre d'un trafic d'armes, entre malfrats, police et armée de l'ombre. Oliveri qui tant bien
que mal tente d'éviter les pruneaux qui sifflent à ses oreilles. Oliveri qui compte les macchabées qui jalonnent sa route, Oliveri qui ne respecte rien, et surtout pas sa hiérarchie, Oliveri qui
n'y comprend plus rien mais qui comme un chien enragé ne lâche jamais son os. Le commissaire Oliveri, un sacré emmerdeur comme il en faudrait plus souvent !
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