Dans la collection First Thriller, voici le premier roman d’une Anglaise de 32 ans, Ruth Newman. C’est à Cambridge, dans le milieu universitaire où elle vit, qu’elle situe l’intrigue de "Les visages du mal". Quand le campus d’un Collègue de Cambridge devient le terrain de jeu d’un tueur en série… L'atmosphère est devenue irrespirable pour les étudiants depuis que celui que les médias ont surnommé le "Boucher de Cambridge" s'acharne sur leurs petits camarades. Désormais, il ne s'agit plus pour eux de survivre au stress des examens mais de survivre tout court... Le psychiatre Matthew Denison est persuadé que sa patiente, la jeune Olivia Corscadden, connaît l'identité du tueur. Suite à un choc traumatique - sa compagne de chambrée se serait faite éviscérer sous ses yeux - l'information est restée "verrouillée" dans la mémoire d’Olivia. Qui peut bien jouer ainsi à "Petites décapitations entre amis" ? Un étudiant qui aurait basculé dans la folie ? Un professeur pervers ? Un étranger de passage ? A Matthew de trouver le moyen de faire ressurgir les souvenirs ensevelis dans le subconscient d'Olivia avant que le Boucher ne sévisse à nouveau. Une plongée en eaux troubles sans doute plus violente que ne l’imaginait le psychiatre.