Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 06:37

 

Le 1er février 1954, l’abbé Pierre lançait un appel à la solidarité pour les plus démunis victimes du froid. En février 2012, la Ligue de la Protection des Auteurs de Polars nous adresse à son tour un message de détresse. FROID-1La situation est nettement moins dramatique, mais soyons solidaires des auteurs de polars. Car beaucoup d’entre eux sont SDF (Sans Diffusion Fixe). Voici l’appel que lance en leur nom Jan Thirion :

 

« Les auteurs de polars souffrent du froid comme tout le monde, surtout les plus jeunes et les plus vieux: ils doivent s'hydrater davantage, manger plus et se couvrir.

Ils disparaissent vite par moins 0 Celsius. Leurs mains engourdies ne leur permettent plus d’écrire. Plus de commandes vocales avec leur gorge prise. Quant à leur cerveau gelé, il ne répond plus. De bons livres policiers sortent-ils en hiver? Non.

Par temps froid et sec, ces écrivains du domaine criminel ont tendance à se déshydrater et à brûler davantage de calories, notamment ceux qui vivent de réalisme social.

En priorité, il faut donner beaucoup d'alcool à tous les romanciers. Chambré pour éviter qu'il gèle à l’absorption, lorsque la consommation se fait à l’extérieur. FROID-2Les auteurs souffrent des variations thermiques. Pour la promenade, ils doivent porter un manteau s'ils sont jeunes et peu connus, et s'ils sont vieux, également, avec un bonnet, même ceux qui ont un nom.

Attention, plus les écrivains sont contestables, plus ils souffrent du froid! Un auteur de thriller aura plus froid qu'un auteur de whodunit. Un auteur de polar horrifique souffrira davantage qu’un auteur de roman d’enquête. Pour éviter les engelures aux doigts des plus fragiles, il leur est conseillé d’enfiler des gants.

Les quantités de nourriture doivent être triplées pour ceux qui courent les salons du livre, et sensiblement augmentées pour les autres.

Les auteurs véristes ont naturellement un épiderme endurci à force de raconter la vie sinistre de leurs contemporains; il n'est donc pas utile de les couvrir. En revanche, ils doivent avoir beaucoup de vin à leur disposition et une ration de viande et de charcuterie quotidienne plus importante. FROID-3Les auteurs scandinaves font exception à la règle: ce sont des usines à faire du chaud! Avec une température de 39 degrés en permanence par tous les temps, ils ne souffrent guère du froid.

De tous les écrivains de romans policiers, ce sont ceux publiés à faible tirage qui souffrent le plus des rigueurs de l’hiver. Ils ont le sang chaud par intermittence et bouillent de vouloir réussir; ce qui les fragilise. Dans leur logis, la température ne doit pas descendre en dessous de 22 degrés, sous peine de mort.

Lire les auteurs de polars, c’est bien, mais en période glaciale, il faut penser à les choyer, à les protéger des intempéries, à les nourrir et à étancher leur soif. Ne pas les laisser crever seul chacun dans leur coin est de la responsabilité de tous.»

 

Merci à Jan Thirion pour cette (souriante) contribution, visant à souligner la fragilité de nos z'amis z'auteurs. On peut lire ici ma chronique sur son dernier roman "Nuoc mâm Baby" ou visiter son site.

Partager cet article
Repost0
25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 06:20

 

La délinquance et le crime existent. Dans les sociétés issues du christianisme, c’est vrai depuis l’origine des temps. En effet, Ève était une voleuse de pommes, acte d’incivilité qui entraîna tous les maux. Quant à son fils Caïn, il restera le premier meurtrier de l’Histoire du monde, ayant assassiné son frère Abel. Étant les descendants de ces malfaiteurs, il serait vain de nous chercher d’éventuelles circonstances atténuantes. CRIMES-CHATIMENTSSi nous possédons tous les gènes de la criminalité, peu d’entre nous passent à l’acte, heureusement. Lorsque c’est le cas, l’affaire devient un de ces faits divers qui, souvent, marquent les esprits.

Nouveau magazine trimestriel disponible en librairies, Crimes et Châtiments propose un retour sur diverses facettes relatives aux faits divers. Il ne s’agit pas d’un étalage d’affaires aussi sanglantes que sordides, ni de servir des arguments sécuritaires politiciens. Ce magazine témoigne et analyse, montrant la réalité du crime, de sa traque, de la Justice. Outre des articles de fond, on y trouve des résumés plus brefs de cas criminels récents et singuliers à travers le monde. De courtes anecdotes vécues par des policiers, également. Ainsi que des chroniques sur une demie-douzaine de polars, une carte de France recensant les crimes par départements en 2010, et une bande-dessinée de Gabriel Germain (qui adapta par ailleurs le roman de Jean-Hugues Oppel Brouillard au pont de Bihac).

Si l’on ne suit pas l’actualité tahitienne, on ignore ce qui s’est produit en octobre 2011 sur l’île de Nuku Hiva, dans l’archipel des Marquises. Escale mortelle pour un couple de jeunes Allemands voyageant sur leur voilier. Stefan Ramin et Heike Dorsch ont été aux prises avec Arinaho Haiti, un Polynésien de 31 ans. On a même parlé de cannibalisme. La cavale du suspect va durer sept semaines. On a davantage évoqué dans les médias français le procès de Dieter Krombach. Ce médecin allemand aujourd’hui âgé de 76 ans a été condamné récemment pour avoir provoqué la mort de sa belle-fille Kalinka Bamberski, en 1982 en Bavière.

Ce premier numéro présente un très intéressant dossier : Destins de femmes. Si elles sont bien moins nombreuses que les hommes, les femmes criminelles suscitent davantage de questions. Définir leurs motivations, expliquer le fameux passage à l’acte, reste malaisé. On nous confirme que le milieu socioculturel ou l’âge n’ont rien à voir avec les crimes de femmes. Néanmoins, dans la moitié des cas, il y a assassinat avec préméditation. Un autre article tente d’analyser ce qui incite certaines à devenir femmes de voyous. Romantisme extrême à la Bonnie and Clyde, fascination pour des truands charismatiques, ou bien excitation de la marginalité ? Là encore, beaucoup de questions restent sans réponses.

Parmi le riche choix d’articles, on peut aussi évoquer la cavale version Corse. Si la solidarité liée à l’identité insulaire a permis à certains de disparaître, la fuite reste passablement ennuyeuse pour les concernés… L’histoire d’amitié entre un flic et un voyou n’est pas si caricaturale, puisque basée sur la compréhension et le respect mutuel… Dans l’article consacré à La vie après la prison, notons le témoignage d’Hafed Benotman, qui a publié plusieurs livres chez Rivages. Peu d’amertume chez lui qui connaît les dures conditions de la détention. Qui sait aussi que le risque de replonger reste présent. D’autres ex-taulards vivent moins bien ces épisodes de leur vie... Très bel article-témoignage de Dominique Verdeilhan, chroniqueur judiciaire confronté en permanence aux drames dont il est chargé de parler à la télévision.CRIMESetCHATIMENTS

Seuls trois articles ne sont guère passionnants (énième reportage sur le RAID, une série de photos d’actualité liées au crime, l’éternel topo sur les armes à feu et la balistique). C’est peu, l’essentiel de ce premier numéro de Crimes et Châtiments s’avérant très réussi. Il s’achève sur Crime et littérature, où plane l’ombre du commissaire Maigret, dont le bureau a déjà été évoqué dans un autre article. Un magazine haut-de-gamme fort convaincant, dont on lira volontiers les prochains numéros.

Partager cet article
Repost0
24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 06:45

 

CORTO-EXPOExposition Hugo Pratt au musée de la franc-maçonnerie (Paris 9e) du 15 février au 15 juillet 2012.

Figure emblématique de la bande dessinée du 20e siècle, Hugo Pratt est un exemple de la rencontre de créateurs avec la Franc-maçonnerie. Il fut à un moment de sa vie un Maçon assez actif. Son oeuvre fourmille de références littéraires, artistiques, historiques, cinématographiques et maçonniques.

L’objet de cette exposition est de fournir au lecteur un outil pour pouvoir les appréhender, pour mieux comprendre cette création dense, complexe et envoûtante. Cependant, si Hugo Pratt a été Maçon et si cet engagement a eu une certaine importance dans sa vie, ce n’est pas la clé unique d’un travail qui puise à de nombreuses sources.

L’exposition présente une quarantaine d’oeuvres originales d’Hugo Pratt (aquarelles, planches...) –dont la plupart n’a jamais été présentée au public– ainsi que des pièces et documents maçonniques illustrant son intérêt pour la démarche initiatique et sa vie en loge.

Musée de la Franc-Maçonnerie - 16 rue Cadet 75009 Paris - 01.45.23.74.09 -

Ici, le site web du musée.

Groupe officiel Facebook : www.facebook.com/groups/museefm

Fanpage de l’exposition : www.facebook.com/cortomusee

Partager cet article
Repost0
24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 06:40

 

LIEGE-FESTIVAL-2012Le Festival International du Film Policier de Liège 2012 est annoncé du 19 au 22 avril. Cet évènement ne concerne pas seulement le cinéma, mais aussi la bande dessinée et le polar. Des prix sont également remis dans ces deux catégories : le Prix FNAC Sang9 (bd), et le Prix Plume de Cristal (polar).

 

Le Festival du Film Policier de Liège et la Fnac organisent cette année encore un concours gratuit de nouvelles intitulé : «Bonnes ou Mauvaises nouvelles policières». Ce concours est réservé aux textes qui répondent à la définition soit du "roman policier", c'est-à-dire relatant des activités criminelles plus ou moins mystérieuses faisant l'objet d'une enquête, soit du "roman noir", de type plus psychologique. Les textes doivent également s'apparenter au genre de la "nouvelle", en particulier sur le plan de la brièveté. Ouvert à tous à partir de 16 ans. À gagner : un chèque cadeau de la Fnac (valeur 500€). Envoyez avant le 1er mars 2012 vos nouvelles à l’adresse suivante : Graziella.russo@fnac.be

Les infos sur le Festival sont ici.

Partager cet article
Repost0
18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 06:36

 

Grand Prix des lectrices de Elle 2005, "Passage du Désir" de Dominique Sylvain marqua le début d’une série de romans ayant pour héroïnes un étonnant duo, Lola Jost et Ingrid Diesel. L’ex-commissaire de police et la jeune Américaine ont désormais leurs doubles à l’écran. En effet, l’adaptation du roman est annoncée sur France 2 le vendredi 3 février à 20h35. Dominique Sylvain ayant vu le résultat, elle a la gentillesse de répondre à quelques-unes de mes questions.

 

DESIR-2Dans l'adaptation de ton roman "Passage du Désir", Muriel Robin tient le rôle de Lola Jost, et Fatou Ndaye, celui d’Ingrid. Que penses-tu de leur interprétation ?

Dominique Sylvain : J'ai beaucoup aimé l'interprétation de Muriel Robin. Elle dégage une autorité naturelle, et est en même temps très drôle. Elle donne au personnage une belle dimension empathique, maîtrisée, sans pathos. La première scène où on la voit danser en kimono tout en dégustant son moment puzzle, tranquille dans son antre avec son verre de rouge, est très réussie. Fatou Ndaye est ravissante, fraîche, et fait ce qu'elle peut pour donner de l'énergie au personnage, mais je regrette qu'elle soit si différente de mon Ingrid. Son anglais n'est guère convaincant. Mais je suppose que dans une adaptation audiovisuelle d'un roman, il faut faire des choix. Et je crois que les scénaristes ont décidé de mettre l'accent sur Lola. ça correspond à ce qu'un producteur m'avait expliqué un jour : "Dans un film, l'histoire est racontée par un seul personnage".

 

On a l’impression que, dans les romans dont-elles sont les héroïnes, tu n’as pas cherché à leur donner un visage. Elles existent par leur caractère, leur volontarisme, leur excentricité aussi ?

D.S. : Leurs traits restent un peu flous, c'est vrai. Mais je donne tout de même une certaine description au début de la série. Lola est très enrobée, elle a une soixantaine d'années, et une tronche de bouledogue quand elle est de mauvaise humeur. Ingrid est à la fois sexy et athlétique. Elle a une courte crinière blonde ébouriffée, de grands yeux clairs. En fait, dans mon esprit, Lola c'est un mélange de Simone Signoret, époque Veuve Couderc, et de Katy Bates dans le remake américain des Diaboliques. Et Ingrid est belle et sympathique comme la délicieuse Claire Danes. Je ne me suis pas lancée dans une description précise pour laisser le droit aux lecteurs de se les approprier. Je préfère suggérer.

 

L'épisode a été tourné dans les quartiers de Pigalle et du canal St Martin. Pas de trahison dans les décors, donc ?

D.S. : Les décors sont impeccables. Le restaurant Les Belles donne envie de s'y attabler. Il y a aussi une très jolie scène "japonaise", le long du canal Saint-Martin, sous la pluie. Le psy Antoine Léger promène Sigmund, son dalmatien, la nuit. Il abrite Lola sous son grand parapluie rouge qui ressemble à une ombrelle. On a l'impression de se trouver dans un film japonais. C'est parfait.DESIR-1

 

Jackye Fryszman et Jérôme Foulon, les scénaristes, sont-ils restés fidèles à l’esprit des personnages et de l’intrigue ?

D.S. : Oui, l'histoire a été simplifiée, mais de nombreux dialogues ont été conservés. Les scénaristes ont décidé de tabler sur le côté comédie, et sur la fantaisie de la série. Dans les romans, il y a une dimension plus large dans le sens où les moments de rigolade alternent avec des scènes fortement dramatiques. Et dans le dernier roman de la série, "Guerre sale", la tragédie prend le pas. Mais encore une fois, je suppose qu'il faut faire un choix. C'est pour cette raison que je n'écris pas de scénario. Ceci étant dit, je constate tout de même qu'une série comme Dr House sait être à la fois hilarante et dramatique. J'en déduis qu'il s'agit d'une spécialité anglo-saxonne. Une tradition dont je me sens très proche tout en étant 100% frenchy.

 

Un grand merci à Dominique Sylvain. Ici, quelques infos sur ce téléfilm. Mes chroniques sur d'autres romans de D.Sylvain : "L'absence de l'ogre" - "La nuit de Géronimo", "Manta Corridor" - "Baka" (une enquête de Louise Morvan). Dominique Sylvain a aussi répondu au Portrait Chinois et à l'Interview Express.

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 06:32

 

Claude-4 ans4 ans, c’est l’âge que j’ai sur cette photo.

Déjà l’air concentré et le crayon en main pour rédiger mes premières chroniques polar ? Non, quand même pas. Mais c’est en ce temps-là que j’ai appris à lire, à écrire, et ça m’a beaucoup servi depuis. Je vous garantis qu’on vit mieux avec la lecture, que sans les livres. Méfiez-vous des personnes qui ne lisent rien, elles sont dangereuses.

Lire, même des fictions, c’est avoir un meilleur prisme pour observer la société.

S’ouvrir l’esprit en lisant, c’est s’enrichir.

Grâce à cette photo, si nous nous croisons un jour,

vous me reconnaîtrez facile : j’ai pas changé.

4 ans, c’est aussi l’âge d’Action-Suspense.

Partager cet article
Repost0
14 janvier 2012 6 14 /01 /janvier /2012 06:37

 

FEMMES-2012Le Mans, Palais des Congrès et de la Culture : Samedi 4 Février 2012, rencontres Femmes d'histoire.

Valoriser les actions des femmes d’hier et d’aujourd’hui et mettre en perspective leur engagement dans la vie sociale, artistique, économique et politique, c’est ce que propose l’association Femmes d’histoire en organisant des rencontres thématiques. C’est le thème ‘‘Histoires de femmes : Polar, BD, Manga’’ qui a été retenu pour cette 7e édition.

 

Les thématiques abordées (dès 10h30) :

L’histoire du Polar au féminin, par Stéphanie Delestré

Editrice, elle anime depuis 2008 la collection consacrée au Poulpe, aux éditions Baleine et publie les romans de Sébastien Gendron et de Laurence Biberfeld au sein de cette maison d’édition.

L’histoire de la BD au féminin, par Agnès Deyzieux

Documentaliste, spécialiste de la BD et du manga, présidente des associations Bulle en tête et Gachan, elle anime régulièrement au Mans les rencontres - cafés BD Bulle/Ouest-France.

 

Les Reines du crime annoncées (dès 15h) :

Odile Bouhier : Enfant, Odile Bouhier a pour voisins Francis Heaulme, tueur en série, et Patrick Dils, condamné à tort… Aujourd’hui, ils ont déménagé. Elle aussi. Son goût prononcé pour les personnages torturés est un prétexte, ses récits explorent les zones d’ombre de l’âme humaine. Son premier roman, "Le sang des bistanclaques" (cliquez sur le lien) est sorti en 2011.

Viviane Hamy : Après avoir travaillé dans différentes maisons d’édition, Viviane Hamy choisit, en 1990, de créer la sienne. Quatre ans plus tard, elle crée Chemins Nocturnes, une collection policière retenant exclusivement de jeunes auteurs français inconnus. C’est dans cette collection que paraîtra, la même année, "Ceux qui vont mourir te saluent" de Fred Vargas, qui avait été refusée huit ans par les éditeurs. Elle publie aussi l'excellente Dominique Sylvain.

André H.Japp : Traductrice des œuvres de Patricia Cornwell en France, Andréa H. Japp se lance dans l’écriture de romans policiers en 1990 avec "La Bostonienne" et obtient le Prix du Festival de Cognac un an plus tard. Aujourd’hui, auteure d’une vingtaine de romans policiers contemporains ou historiques, elle est considérée comme l’une des "reines du crime" françaises. Lire ma chronique sur son roman "Les cadavres n'ont pas froid aux yeux".

Danielle Tiéry : Première femme de l’histoire de la police française à décrocher le grade de commissaire divisonnaire, Danielle Thiéry est également passionnée par le polar et les ambiances noires, comme celles de James Ellroy, un de ses modèles. Elle explore à travers ses livres les réalités d’un métier aux règles impitoyables où le pire est vécu au quotidien mais où les relations humaines sont essentielles.

Partager cet article
Repost0
13 janvier 2012 5 13 /01 /janvier /2012 06:32

 

Je m’suis dit que ce serait pas idiot de parler de Vendredi 13, vu que c’est la date daujourd’hui. Comme une association d’idée, voyez-vous ? MAULIN-2012Des fois, j’ai un étonnant sens de l’à-propos, c’est vrai.

Pas la première fois que j’en cause, de la collection Vendredi 13. Que je répète qu’elle est publiée aux Éditions La Branche, et dirigée par Patrick Raynal. Celui qui a été longtemps directeur éditorial de la Série Noire, oui. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il a réuni de sacrés talents dans cette nouvelle collection publiée depuis l’automne 2011. Treize romanciers, parce qu’il a réfléchi que ça correspondait à Vendredi 13. Pas bête, n’est-ce pas ?

Dans les mois à venir, y seront publiés Olivier Maulin (en février), Pierre Pelot, Pia Petersen, Jean-Marie Laclavetine, Scott Philipps, Patrick Chamoiseau, Alain Mabanckou, Pierre Hanot, Mercedes Deambrosis. Les quatre romans déjà publiés, déjà diablement excitants, sont signés : Michel Quint, Pierre Bordage, Brigitte Aubert, et Jean-Bernard Pouy. Yaka cliquer sur leurs noms pour lire mes chroniques à leur sujet. Si vous ne connaissez pas encore cette collection, ne passez pas à côté : c’est de la qualité supérieure.

Partager cet article
Repost0

Action-Suspense Contact

  • : Le blog de Claude LE NOCHER
  • : Chaque jour des infos sur la Littérature Policière dans toute sa diversité : polar, suspense, thriller, romans noirs et d'enquête, auteurs français et étrangers. Abonnez-vous, c'est gratuit !
  • Contact

Toutes mes chroniques

Plusieurs centaines de mes chroniques sur le polar sont chez ABC Polar (mon blog annexe) http://abcpolar.over-blog.com/

Mes chroniques polars sont toujours chez Rayon Polar http://www.rayonpolar.com/

Action-Suspense Ce Sont Des Centaines De Chroniques. Cherchez Ici Par Nom D'auteur Ou Par Titre.

Action-Suspense via Twitter

Pour suivre l'actualité d'Action-Suspense via Twitter. Il suffit de s'abonner ici

http://twitter.com/ClaudeLeNocher  Twitter-Logo 

ACTION-SUSPENSE EXISTE DEPUIS 2008

Toutes mes chroniques, résumés et commentaires, sont des créations issues de lectures intégrales des romans analysés ici, choisis librement, sans influence des éditeurs. Le seul but est de partager nos plaisirs entre lecteurs.

Spécial Roland Sadaune

Roland Sadaune est romancier, peintre de talent, et un ami fidèle.

http://www.polaroland-sadaune.com/

ClaudeBySadauneClaude Le Nocher, by R.Sadaune

 http://www.polaroland-sadaune.com/