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17 octobre 2015 6 17 /10 /octobre /2015 15:00

Le Festival Polar de Cognac est une institution. Chaque année, parmi les multiples animations présentées au public, y sont remis plusieurs prix récompensant des œuvres de la Bande Dessinée, de la Littérature et du Théâtre. Présentée par les comédiens Virginie Caliari et François Bureloup, la cérémonie des "Polar 2015" s'est déroulée ce samedi 16 octobre à 20h30 à La Salamandre lors du Festival Polar de Cognac.

Le « POLAR » 2015 du Meilleur Roman International a été décerné à "La fille du train" de Paula Hawkins / Ed.Sonatine

Le « POLAR » 2015 du Meilleur Roman Francophone a été décerné à "Une putain d'histoire" de Bernard Minier / Ed.XO.

(C'est la 2e fois que ce romancier reçoit le « POLAR » du Meilleur Roman Francophone et il est à noter que c'est une première depuis 1996, l'année de la création du Prix.)

Le « POLAR » 2015 du Meilleur One Shot Francophone de BD a été décerné à "Fatale" de Cabanes & Manchette / Ed.Dupuis

Le « POLAR » 2015 de la Meilleure Série Francophone de BD a été décerné à "Holly Ann" de Servain & Toussaint / Ed.Casterman

Le « POLAR » 2015 du Meilleur Roman Jeunesse a été décerné à "Ne t'arrête pas" de Michelle Gagnon / Ed.Nathan

Le « POLAR » 2015 du Meilleur Spectacle Théâtral a été décerné à "Artiste de complément" de Jacques Dupont / Théâtre Issaïon

Le festival se déroule le week-end des samedi 17 et dimanche 18 octobre dès 9h30 pour la Grande Librairie et ses séances de signatures et de dédicaces. Tout au long du festival, conférences, cartes noires, clins d’œil et hommages sont au programme.

Festival de Cognac : les lauréats 2015 des Prix POLAR
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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 04:55

Voici un roman qu'on aura peut-être la chance de pouvoir lire en traduction française un jour. Ce serait une bonne idée : le sujet apparaît fort excitant.

Le Man Booker Prize, prix britannique de langue anglaise qui ouvre à son lauréat un lectorat mondial, a récompensé le mardi 13 octobre 2015 “A Brief History of Seven Killings”, de l’auteur jamaïcain Marlon James. Basé sur des faits réels, ce long roman de 680 pages évoque l'attaque (par sept personnes) dont furent victimes Bob Marley et son équipe le 3 décembre 1976, juste avant un concert à Kingston, ville natale de l’auteur. Il s'agit d'une fresque complexe, sur trois décennies, avec plus de soixante-quinze personnages. Il y est aussi question de guerres du crack à New York dans les années 1980 et des transformations de la Jamaïque dans les années 1990.

Âgé de 44 ans, Marlon James habite aux États-Unis, à Minneapolis. Il faisait partie d’une dernière sélection de six auteurs, aux côtés des Américaines Hanya Yanagihara et Anne Taylor, des Britanniques Tom McCarthy et Sunjeev Sahota et du Nigérian Chigozie Obioma. Réservé jusqu’en 2013 aux romanciers britanniques, irlandais et aux ressortissants du Commonwealth, le prix (doté de 50.000 Livres Sterling) est ouvert depuis l’an dernier aux auteurs issus de l’ensemble du monde anglophone, avec des romans publiés en Grande-Bretagne pour être éligibles.

C'est le troisième roman de Marlon James, qui a failli abandonner sa carrière d'écrivain. En effet, son premier livre, "John Crow's Devil", avait été rejeté par soixante dix-huit maisons d'édition, avant d'être finalement publié en 2005 par Akashic Books. 

Le Man Booker Prize récompense “A Brief History of Seven Killings” de Marlon James

“C'est un roman policier qui dépasse son genre et nous plonge dans une histoire récente qu'on connaît trop peu. Le roman avance à une vitesse folle et deviendra un classique de notre temps”, a déclaré le président du jury, Michael Wood. “Un des plaisirs de cette lecture, c'est que quand vous tournez une page, vous ignorez qui sera le narrateur de la suivante.” Michael Wood a loué la diversité des tonalités du livre, qui vont “de l'argot jamaïcain à des hauteurs bibliques”. Il a aussi précisé que sa mère ne pourrait probablement pas dépasser les premières pages à cause des gros mots et de la violence. Marlon James lui-même est d'accord: “Cette fois-ci, ma mère devrait éviter la quatrième partie du livre”.

Le New York Times a été dithyrambique sur ce livre : “C'est comme un remake du film "The Harder they come" ["Tout, tout de suite" avec Jimmy Cliff, film de Perry Henzell, 1972], par Quentin Tarantino avec une bande originale de Bob Marley et un scénario d'Oliver Stone et William Faulkner, avec un peu d'aide créative de la ganja. C'est épique dans tous les sens du mot : de grande envergure, mythique, excessif, colossal et incroyablement complexe.”

(Sources : Le Monde – Slate.fr – FranceTV infos – Wikipedia – BBC News)

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 04:45
En mai, Action-Suspense annonçait un concours organisé en marge du festival Lire en Poche, afin de récompenser un des meilleurs titres parus en format poche. L'ami Pascal Dessaint a le grand plaisir de vous annoncer que "Le Bal des frelons" (Rivages/Noir) vient de recevoir à Gradignan le "Prix du Polar Sud Ouest Lire en Poche 2015".
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10 octobre 2015 6 10 /10 /octobre /2015 04:55

À New York, un mystérieux gangster défiguré blesse Alex, l'inspecteur de police lancé à ses trousses. Immobilisé a l’hôpital, Alex se lie d'amitié avec Léo, un garçon de onze ans soigné ici pour une étrange maladie. Léo possède la faculté de sortir de son propre corps. Comme un fantôme, invisible de tous, Léo peut s'envoler et passer à travers les murs. L'homme au visage cassé énigmatique menace la ville d'un virus foudroyant. Grâce aux pouvoirs extraordinaires de Léo, le policier Alex reprend son enquête. Ils croisent Mary, journaliste a l'esprit vif et malicieux, dont la témérité lui fait souvent prendre des risques inconsidérés. Son humour moqueur s’applique aussi bien à Alex, avec qui elle partage secrètement des sentiments amoureux, qu’aux plus dangereux criminels. Est-ce bien raisonnable de taper sur les nerfs d’un psychopathe quand il pointe un revolver sur vous ? Quelques autres personnages interviennent dans cette affaire, dont un commissaire râleur, un duo inquiétant, l'indic La Taupe, ou le chien Rufus. Léo est face à un double défi : remporter une victoire contre sa maladie et contre un dangereux gangster…

"Phantom Boy" est un film policier Fantastique pour jeune public (à partir de 6/7 ans). Le polar et le Fantastique ne sont pas souvent associes dans le dessin animé. Pourtant la rencontre entre ces deux genres est très riche du point de vue du scénario et de la mise en scène. Est ajoutée a ce mélange détonnant une pincée de films de super-héros. Le titre est un clin d’œil aux surnoms désignant ces personnages. D'où vient l'idée de l'appeler "Phantom Boy" ? Le mot fantôme a une connotation lugubre. Pas de cimetière ni de morts-vivants dans cette histoire, le personnage est bien vivant. S'il veut dire la même chose, le mot anglais Phantom est plus nuancé que Ghost, avec sa sonorité proche de la prononciation française, plus poétique.

Même si l’informatique est un outil indispensable, l’animation est réalisée à la main sur du papier. De cette façon, le trait du dessin garde toute sa fragilité et sa sensibilité. Réalisés avec des craies à la cire sur papier, les décors de New York sont retravaillés sur ordinateur. Les coups de crayon et le passage de la craie sont visibles à l’écran. Tout ceci concourt a donner une vision personnelle de cette ville toujours cinématographique.

Cinéma : “Phantom Boy” - dessin animé d'Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli, dès le 14 octobre 2015

"Phantom Boy" est un film d'animation d'Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli. Avec les voix d'Edouard Baer (Alex), Jean-Pierre Marielle (l'homme défiguré), Audrey Tautou (Mary), Jackie Berroyer (La Taupe). La musique est signée Serge Besset. A partir de 1996, Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli réalisent ensemble plusieurs courts-métrages, dont "Les Tragédies minuscules", une série de dix épisodes pour Canal+ et Arte. En 2010 sort "Une vie de chat", leur premier long métrage. Le film est sélectionné au Festival de Berlin et poursuit sa route jusqu'à Hollywood, où il est nommé aux Oscars en 2012.

Pour les amateurs de polars, rappelons qu'Alain Gagnol a été publié dans la Série Noire : M'sieur (1995), Les Lumières de frigo (1997) ; dans la collection La Noire : Est-ce que les aveugles sont plus malheureux que les sourds ? (2000) ; chez Le Cherche-midi : La Femme patiente (2002), Axel et Joséphine (2004) ; chez Magnard Jeunesse : Léon à peur (2005), Pire que terrible (2005), et aux éditions Le Passeur : Un fantôme dans la tête (2014). Ce dernier roman fut, d'ailleurs, un des meilleurs noirs polars français de l'année.

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9 octobre 2015 5 09 /10 /octobre /2015 19:30

Pour ses trente ans, le Prix Polar Michel Lebrun est heureux de vous annoncer qu'il a choisi son lauréat 2015. Dix romans pouvaient cette année y prétendre dans la sélection finale :

- AUBARBIER Jean-Luc : L'Echiquier du Temple - City éditions

- BOUYSSE Franck : Grossir le ciel - La Manufacture de livres

- BRUSSOLO Serge : La Route de Santa-Anna - Le Masque

- CALDERON et DE MORAS : La prétendue innocence des fleurs - Scrineo

- CHALUMEAU Laurent : Kif - Ed.Grasset

- DOKMAK Boris : Les Amazoniques - Ring

- INCARDONA Joseph : Derrière les panneaux il y a des hommes - Ed.Finitude

- MANOTTI Dominique : Or noir - Série Noire (Gallimard)

- ROUX Christian : Adieu, Lili Marleen - Rivages/Thriller

- VERDET Gilles : Voici le temps des assassins – Ed.Jigal

 

On est très heureux d'annoncer qu'après avoir été récompensé par le Prix Calibre 47, c'est "Grossir le ciel" de Franck Bouysse qui reçoit le Prix Polar Michel Lebrun 2015 !

 

(merci à l'association 813 d'avoir transmis cette info)

Prix Michel Lebrun 2015 est attribué à...
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5 octobre 2015 1 05 /10 /octobre /2015 16:10
Le commissaire Wallander est en deuil : Henning Mankell est décédé

Henning Mankell, père du célèbre commissaire Kurt Wallander qui incarnait une vision désabusée de la social-démocratie scandinave, est décédé dans la nuit de dimanche à lundi des suites d'un cancer à l'âge de 67 ans. Henning Mankell, qui avait révélé en 2014 souffrir d'un cancer, "s'est éteint paisiblement cette nuit à Göteborg", dans le sud-ouest de la Suède, a annoncé son éditeur suédois Dan Israel avec qui il avait fondé la maison Leopard en 2001. "Mon anxiété est très profonde, bien que j'arrive largement à la contrôler", avouait-il au sujet du mal qui le rongeait. Henning Mankell, qui vivait entre la Suède et le Mozambique, était l'un des auteurs phares de la littérature policière nordique.

"Il a décrit les coulisses sombres du modèle nordique", analyse pour l'AFP Olivier Truc, auteur du "Dernier Lapon" (Métailié). "Il assumait son rôle de critique" envers "une social-démocratie qui a trahi la classe ouvrière".

Henning Mankell laisse une oeuvre riche d'une quarantaine de titres, dont douze dans la série Wallander et une douzaine pour enfants, écoulés à 40 millions d'exemplaires dans le monde. Henning Mankell était marié à Eva Bergman, 70 ans, fille du cinéaste Ingmar Bergman dont il était proche.

"L'Homme inquiet" - titre de l'avant-dernier opus de la série Wallander - dont l'horreur des injustices n'avait d'égal que l'indignation et l'empathie, Mankell avait trouvé dans le personnage de Kurt Wallander son double assermenté. Ce policier de la petite ville côtière d'Ystad à la personnalité difficile était devenu un personnage de série de la BBC, joué par l'acteur britannique Kenneth Branagh. Depuis, Ystad voit défiler des lecteurs venus du monde entier mettre leurs pas dans ceux du flic le plus célèbre du royaume scandinave et revivre le frisson des "Chiens de Riga" ou de "La lionne blanche".

"Je suis effondrée", a confié à l'AFP Anne Freyer qui le publiait en France depuis 25 ans et devait le retrouver à la Fête du livre, à Aix-en-Provence (sud de la France), du 9 au 11 octobre. "C'était un grand homme et un ami" mais aussi un "homme terriblement imprévisible", dit-elle. Vivant une partie de l'année dans la capitale mozambicaine Maputo, Mankell y dirigeait le Teatro Avenida pour, disait-il dans un entretien à l'AFP en 2011, "observer le monde depuis un autre endroit que "notre Europe ethnocentrique". Depuis sa découverte du continent africain dans les années 1970, il aimait à dire qu'il avait "un pied dans la neige, un pied dans le sable".

Et quand on lui demandait quel était à ses yeux le centre de l'Europe, il répondait "la petite île de Lampedusa, au sud de la Sicile", d'où débarquent chaque année des dizaines de milliers de migrants. En juin 2010, il se trouvait aussi à bord d'une flottille de militants pour Gaza attaquée par un commando israélien. "Aucun blocus dans l'histoire mondiale n'a perduré éternellement (...) Personne n'accepte la soumission. Tôt ou tard Israël connaîtra ce que le système de l'apartheid a connu en Afrique du Sud", affirmait l'écrivain. "Je suis un homme en colère" face aux injustices et aux inégalités, justifiait-il. Contre les extrémismes, les intégrismes religieux ou les violences faites aux femmes et aux enfants, Wallander partageait ces colères.

(Extraits de la dépêche AFP)

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3 octobre 2015 6 03 /10 /octobre /2015 07:00
Thomas H.Cook à Nantes le 6 octobre 2015

Thomas H.Cook figure parmi les meilleurs écrivains actuels. Les premiers romans de cet auteur américain, né en1947, ont été publiés en France dans les années 1980 chez Série Noire (Safari dans la 5e Avenue, Du sang sur l'autel, Les rues de feu, etc.). Ses romans suivants furent publiés chez L'Archipel (Les instruments de la nuit, Interrogatoire). Après un retour chez Série Noire (La preuve de sang, Les feuilles mortes, Les liens du sang, Les ombres du passé), ses titres suivants sont à découvrir aux éditions du Seuil, avec entre autres Les leçons du mal, Mémoire assassine, Au lieu-dit Noir Etang, L'étrange destin de Katherine Carr, Le dernier message de Sandrine Madison ou encore son titre 2015 : Le crime de Julian Wells... Dans chaque roman, l'auteur réussit à entretenir la tension du suspense, avec des intrigues centrées sur des drames familiaux et personnels poignants.

Pour les lecteurs de l'Ouest de la France, il est possible d'approcher Thomas H.Cook. Le Mardi 6 octobre, l'association Fondu au Noir 44 vous propose de rencontrer l'auteur et découvrir son univers, à partir de 18h à la librairie Durance, à Nantes (44). À 20h15, Thomas H.Cook participera ensuite à un resto-littéraire au restaurant le Montesquieu (c'est déjà complet).

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29 septembre 2015 2 29 /09 /septembre /2015 04:30

L'association 813, les Amis des Littératures Policières, est en deuil. Françoise Poignant est décédée samedi 26 septembre 2015. Elle fut longtemps un élément majeur de 813, adhérente dès les années 1980. S'impliquant très tôt, Françoise Poignant fut surtout la rédactrice en chef de la revue 813, de 1986 à 2008. Grâce à elle, les "bulletins" d'origine devinrent une sympathique revue associative. C'est à l'occasion du renouvellement des dirigeants de l'association, après avoir œuvré dans l'équipe de Jean-Louis Touchant durant des années, que Françoise céda la place. Entre-temps, elle avait commencé à représenter 813 dans quelques festivals, initiative reprise par ses successeurs.

Françoise Poignant prenait son rôle à cœur. D'aucuns ont pu contester ses choix pour la revue, encore qu'elle ait appliqué une honorable diversité, mais assurément pas sa sincérité ou son dynamisme. Elle avait de l'humour. En témoigne cette scène, en marge de l'Assemblée Générale de 813 au Mans, en 2008. Après l'A.G., l'association organisait un buffet pour les membres présents. A la fin de la réunion, une récente adhérente s'inquiéta du fameux buffet (préparé près du Festival du Livre). Françoise répondit avec ironie : “Oh, il y a bien quelqu'un qui a dû y penser.”

Près de sept ans plus tard, elle quitte le cercle des passionnés de polars, de romans noirs. Il y a déjà cinq ans, le 28 septembre 2010, c'est Michèle Witta (autre élément très actif de 813) qui s'en allait trop vite, elle aussi. Adhérents actuels ou ex-membres de l'association 813, gardons en mémoire ces deux amies des littératures policières.

Françoise Poignant, Boris Lamot, Max Obione (au premier C.A.du nouveau bureau de 2007)

Françoise Poignant, Boris Lamot, Max Obione (au premier C.A.du nouveau bureau de 2007)

Merci à l'amie Véronique M. qui nous transmet deux images de sa collection personnelle, en hommage à la regrettée Françoise Poignant. Des photos qui nous procurent une grande émotion.

Françoise Poignant, en avril 2014

Françoise Poignant, en avril 2014

Françoise Poignant, au sein du Bureau de 813 autour de J.L.Touchant.

Françoise Poignant, au sein du Bureau de 813 autour de J.L.Touchant.

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