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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 06:12
 

Né à Paris en 1973, Antonin Varenne a vécu une vie plutôt mouvementée avant de se consacrer à l’écriture. Il publie aujourd’hui "Fakirs" aux éditions Viviane Hamy. Il s’agit d’un roman d’une noirceur glauque, peuplé de personnages insolites et inquiétants, au cœur d’une intrigue foisonnante.

Du côté de Guérin et Lambert, l’ambiance est plutôt lourde, franchouillarde, inscrite dans une certaine normalité en dépit des fêlures des deux principaux protagonistes. Le lieutenant Guérin, exilé du 36 Quai des Orfèvres — après une sombre histoire mal élucidée — est installé aux Suicides, la corvée redoutée de la Judiciaire, flanqué d’un stagiaire, Lambert, qui passe pour un débile patenté auprès de tous ses collègues, qui ne lui font grâce d’aucune humiliation. Le duo fonctionne contre vents et marées, une curieuse affection liant les deux hommes, l’admiration du plus jeune pour l’intelligence et l’intuition de son Patron servant de révélateur et de moteur.

De l’autre côté, on trouve John Nichols, un Franco-Américain installé dans un tipi planté sur les bords d’une rivière du centre de la France. La maréchaussée débarque un jour dans son campement pour l’emmener à Saint-Céré où on lui apprend la mort de son ami américain, Alan Mustgrave. Elle est intervenue tandis qu’il s’écorchait en direct, sur la scène d’une boîte branchée du Paris underground, très cotée pour ses spectacles sado-maso. Arrivé dans la capitale, l’agression dont est victime Nichols le convainc que la mort de son ami n’est peut-être pas un accident, comme on voudrait le faire croire. D’autant qu’il détient des documents qui mettent en lumière le passé d’Alan, ex-Marine qui participa aux guerres du Golfe et d’Irak. Alors accident, suicide ou meurtre ?

John Nichols va ainsi croiser le très BCBG Frank Hirsh, amoureux transi d’Alan; Ariel, la patronne du Caveau de la bolée; Paty, l’amie peintre d’Alan au tempérament bien trempé; et puis Bunker et son chien Mesrine, gardien de parc et ex-taulard… Et bien sûr Guérin et son comparse Lambert…

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10 avril 2009 5 10 /04 /avril /2009 06:46

Dans le cadre du Festival du film policier de Beaune (début avril 2009), le Prix du premier roman a été attribué à "La note noire", un polar sur fond de jazz, bel hommage aux films noirs et à la littérature américaine, signé Costantini. Voici la présentation de cette intrigue. Thel, un policier new-yorkais désabusé, est confronté à un crime étrange : un jeune homme a été retrouvé égorgé, le drapeau des États-Unis dessiné sur le front. Le FBI et la CIA, dans le contexte d’angoisse de l’après-11-Septembre, penchent très vite pour la thèse d’un complot islamiste et s’emparent de l’enquête. Quand une autre victime est retrouvée égorgée à Chicago, avec cette fois le drapeau britannique comme signature, Thel, obstiné, décide de poursuivre les recherches de son côté. Elles le conduiront à Nice, Los Angeles et San Francisco. Il ne tardera pas à comprendre qu’il n’est qu’un pion dans le projet machiavélique du meurtrier, qui l’oblige à faire resurgir du passé de douloureux souvenirs.

Costantini s’est exprimé pour corsemartin.com « On dit que dans un premier roman il y a toujours une part auto biographique. Cette juxtaposition est assez réaliste. La trame de ce polar est dictée par tout ce qui suscite chez moi de l’engouement. La ville de New York, celle de Nice et le festival de Jazz, l’avion qui survole le Monte Renosu. Les personnages aussi. De Thelonius Coleman à Dominici. Ces noms là ont une consonance qui ne doit rien au hasard. Le fil conducteur rejoint quant à lui un très vieux penchant pour les polars et la BD. Je n’imaginais pas écrire dans un autre genre, avant même envisager d’écrire ».
On peut aussi consulter le blog de l’auteur
http://lanotenoire.wordpress.com/

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8 avril 2009 3 08 /04 /avril /2009 07:21
 

Le parcours de la romancière Katherine Neville est plutôt sinueux. Elle fut mannequin, avant de devenir consultante internationale en informatique à New York. Dans les années 1970, on l’envoie en Algérie à l’époque de l'embargo de l'OPEP. Ensuite, elle est un temps photographe dans le Colorado. En 1980, elle déménage à San Francisco, où elle est vice-présidente de la Bank of America durant dix ans. Elle vit aujourd’hui dans les montagnes du Blue Ridge, en Virginie. Ses titres sont publiés en France aux éditions Le Cherche Midi.

Son premier roman, "Un risque calculé", s’inspirait de son expérience dans l’univers bancaire. Verity Banks est vice-présidente en charge des transferts informatiques de fonds à la Banque mondiale, une institution financière prestigieuse et respectée. Afin de prouver à sa direction que la sécurité informatique de l'établissement est perfectible, elle s'apprête à détourner un million de dollars sans que quiconque ne s'en aperçoive. C'est ce moment que choisit pour réapparaître dans son existence son mentor, le Docteur Zoltan Tor, un séduisant génie de l'informatique qui, vingt ans plus tôt, lui a tout enseigné. Celui-ci lui propose alors un défi : détourner un milliard de dollars, l'investir durant trois mois, et le remettre à sa place sans que personne ne découvre la substitution. Ce qui au départ n'était qu'un jeu dangereux prend une toute autre ampleur lorsque les deux complices découvrent l'existence d'un complot machiavélique. Fidèle à ses habitudes, Katherine Neville met en parallèle dans ce thriller l'histoire de Verity et celle de Nathan Rothschild, qui, entre 1777 et 1836, posa les fondations de la banque moderne, dans une Europe déchirée par les guerres…

Mais c’est surtout avec son thriller historique "Le Huit" que Katherine Neville connaît un succès mondial. New York, décembre 1972 : Catherine Velis, jeune experte en informatique, est une spécialiste des échecs. Alors qu'elle se prépare à partir en Algérie travailler pour L'OPEP, des événements mystérieux se succèdent : une vieille femme la prévient des dangers qui rôdent autour d'elle, puis un antiquaire lui demande de rassembler les pièces d'un jeu d'échecs très ancien dont une partie serait dissimulée en Algérie... Sud de la France, printemps 1790 : Mireille de Rémy et sa cousine Valentine sont novices dans l'abbaye fortifiée de Montglane. En pleine Révolution, la Mère supérieure les charge d'une étrange mission : disséminer à travers le monde les pièces du jeu d'échecs de Montglane. Réunies, celles-ci renfermeraient un secret qui donnerait accès à un terrible pouvoir. Ce roman dévoile les destins parallèles de Mireille de Rémy et de Catherine Vélis, depuis les alcôves parisiennes jusqu'aux cercles fermés qui, à notre époque, contrôlent l'énergie. Dans leurs périples, elles croisent des figures comme Talleyrand ou Robespierre, des hommes de l'ombre et des personnages publics bien décidés à employer tous les moyens pour percer l'étonnant secret du jeu de Montglane…

Voici aujourd’hui la suite de ce roman, "Le feu sacré". Le contexte historique reste identique, dans la France révolutionnaire de 1791. Au coeur des Pyrénées, la mère supérieure de l'abbaye de Montglane charge ses religieuses de disséminer à travers le monde les pièces d'un mystérieux jeu d'échecs qui recèle un secret. Les grands de ce monde deviennent des pièces, blanches ou noires, figures ou simples pions, se livrant à une partie sans merci. 2003 : Catherine Velis et Alexander Solarin ont réussi à réunir toutes les pièces du jeu de Montglane, qu'ils ont mis à l'abri de redoutables convoitises. Leur fille Alexandra reçoit un message de Catherine la conviant à fêter son anniversaire dans la demeure familiale du Colorado. Lorsqu'elle arrive, sa mère a mystérieusement disparu, lui laissant d'étranges indices cryptés, en particulier un échiquier avec une partie en cours. Le Grand Jeu aurait-il recommencé ? Quand Alexandra apprend qu'une des pièces les plus importantes du jeu a refait surface, il n'y a plus de doute à avoir… Les romans de Katherine Neville sont publiés aux éditions Le Cherche Midi.

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7 avril 2009 2 07 /04 /avril /2009 06:13

Signalons la sortie chez Albin Michel de deux romans qui, s’ils n’appartiennent pas à la catégorie polar, s’annoncent riches en suspense. Sans doute sont-ils à classer dans le genre Fantastique, en effet. Mais il suffit d’en lire la présentation pour être tenté.
Commençons par “La Caverne”, de Marina et Sergueï Diatchenko. La Caverne évoque un lieu mystérieux, inquiétant et fascinant. Un monde de rêve qui ressemble étrangement au nôtre. Un univers parallèle où, comme dans la vie réelle, prédateurs et victimes s’affrontent. Jusqu’à la mort… Les œuvres de Marina et Sergueï Diatchenko sont des best-sellers en Russie, en Ukraine et en Pologne, couronnées notamment par le prix du fantastique russe ou le prix du meilleur auteur au festival européen du fantastique de Glasgow. Énorme succès d’édition dans les pays de l’Est, cette étrange histoire à l’intrigue vertigineuse est aussi une réflexion sur la violence, l’amour et la nature humaine. Un roman qui se réfère à ces propos de C. Jung (Les Archétypes de l’inconscient collectif) «L’humanité se situe toujours à la frontière de forces incontrôlables qui agissent de manière autonome. Nous nous retrouvons dans une impasse en imaginant nous libérer quand nous tentons de chasser toutes les méchantes bêtes qui peuplent la caverne du monde souterrain de l’âme.»

S’il est un auteur qu’on ne présente plus, c’est bien Stephen King. Se renouveler à chaque fois semble être le leitmotiv de ce prolifique romancier. Il revient avec son tout dernier titre, “Duma key”. À cause d'un terrible accident de chantier, Edgar Freemantle a perdu son bras droit et il est victime de troubles du cerveau. Marié, père de deux charmantes filles, il connaît l'épreuve du divorce au moment où il doit songer à sa réadaptation. Ses états d'âme n'en sont que plus rageurs. Son psy, le Dr Kamen, lui suggère une “cure géographique”, c'est à dire d'entamer une nouvelle très différente ailleurs. Pourquoi ne pas s'adonner à sa passion pour la peinture ? Edgar Freemantle quitte le Minnesota pour la Floride, s'installant dans une maison qu'il loue à Duma Key. Le magnifique décor côtier l'inspire, mais il craint la solitude. Il sympathise bientôt avec Wireman, un homme hanté par ses propres blessures; puis avec une vieille femme malade, Elisabeth Eastlake, dont les racines sont profondément ancrées ici. Edgar se met à peindre avec force créative et fébrilité. Mais entre surnaturel et souvenirs douloureux, rien n'est jamais linéaire dans un univers décrit par Stephen King.

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31 mars 2009 2 31 /03 /mars /2009 06:22

Aux Éditions Métailié, sort le 9 avril 2009 un roman noir de Mario Sabino : “Le jour où j’ai tué mon père”. Si l’on en juge par la présentation de ce livre, voilà une intrigue qui apparaît pleine de noirceur et de subtilité.
"Tout le monde doit tuer le père pour pouvoir vivre, lui l’a fait simplement d’un coup sur la tête et par derrière. Ensuite, il a appelé la police et maintenant il raconte son histoire à une psychiatre. Il mène une enquête sur lui-même, il suit les détails de sa vie, montre sa médiocrité en face de ce "gagnant" qu’était son père, séducteur, brillant, riche, sûr de lui, jusqu’à séduire sa belle-fille. Il essaie tous les instruments intellectuels pour analyser son acte, la philosophie, la religion, la psychologie, le comportementalisme : tout se révèle incapable d’expliquer son acte. Par ailleurs il nous fait lire son roman inachevé, comme le psychiatre nous y cherchons une interprétation symbolique, une explication, mais la littérature ne révèle rien, elle cache, dissimule. Né à São Paulo en 1962, Mario Sabino est actuellement le rédacteur en chef de la revue brésilienne Veja. Dans ce premier roman, il nous perd avec malice, avec humour, avec une habileté diabolique pour troubler notre sens de l’ordre et de la réalité. Il est facile de tuer, ce qui est difficile, c’est de savoir pourquoi on tue."

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 15:44
 

Auteur de la série policière mettant en scène l’enquêtrice Tess Monaghan, Laura Lippman a reçu nombreux Prix du roman policier. Elle nous présente aujourd’hui un nouveau suspense qui, lui aussi, a été plusieurs fois récompensé : "Ce que savent les morts".
Un jour, la vie des Bethany vole en éclats. Leurs deux filles, âgées de onze et quinze ans, disparaissent dans un centre commercial de Baltimore. Les corps ne sont jamais retrouvés. Ceux qui s’impliquent dans l’enquête n’arrivent pas à comprendre conditions de l’enlèvement des deux sœurs. Y a-t-il eu violences ? Dans un lieu aussi fréquenté, il devrait y avoir eu des témoins. Les a-t-on attirées à l’extérieur du centre, mais comment ? L’affaire apparaît insoluble… Trente ans plus tard. Une jeune femme, encore très choquée par l’accident de voiture qu’elle vient de provoquer, déclare être la cadette des sœurs. Perplexes, les enquêteurs voudraient savoir où elle était passée - et pourquoi elle a attendu si longtemps pour se faire connaître. Il s’agit de déterminer si elle dit la vérité. Car, hormis certains détails que seule une personne de la famille Bethany pourrait connaître, rien en effet ne vient étayer les dires de la victime soudain ressuscitée. Ses parents divorcé après le drame, et son père mort depuis. Seule, la mère de la jeune femme pourra dire le vrai dans cette histoire - qui implique peut-être un ancien membre de la police.

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26 mars 2009 4 26 /03 /mars /2009 07:14
 

Ce sont trois maîtres du thriller, trois valeurs sûres du suspense intense, que nous propose Pocket en ce mois de mars.
S'il a connu le succès avec “L’analyste” et “Faux coupable”, John Katzenbach fut précédemment l’auteur de “L’affaire du lieutenant Scott”, à redécouvrir aujourd’hui : Personne ne s’évade du Stalag Luft n°13. C’est du moins le message adressé aux prisonniers de l’US Air Force par leurs gardiens nazis. Dans ces conditions, survivre devient l’affaire de chacun – le capitaine Bedford l’a bien compris. Troc, marché noir, combines diverses : cet ancien vendeur de voitures n’a pas peur de ternir sa réputation d’officier. Il ne fait pas mystère, non plus, de ses opinions racistes. Et Lincoln Scott, lieutenant noir récemment fait prisonnier, ne tarde pas à en faire les frais. Aussi, lorsque Bedford est retrouvé assassiné, les soupçons fondent-ils naturellement sur Scott. Seul Tommy Hart, jeune avocat dans le civil, semble croire à son innocence. Dans l’urgence, une cour martiale s’improvise. Hélas, en temps de guerre, loups et agneaux ont tendance à se confondre – et la Justice se tient rarement aux côtés des vaincus…

Le commisaire Roy Grace fut créé par Peter James, pour son premier roman : “Comme une tombe”. Après “La mort leur va si bien”, voici sa troisième enquête : “Mort ou presque”. Un riche entrepreneur. Une femme désirable. Une maison luxueuse. Un meurtre. Pour le commissaire Roy Grace, de la police de Brighton, l’affaire est limpide : Brian Bishop a assassiné son épouse volage, empochant au passage une coquette prime d’assurance-vie. Les tests ADN ne laissent d’ailleurs aucun doute. Mais quelques détails contredisent cette version trop évidente… Le masque à gaz retrouvé sur la victime d’abord, puis l’alibi incontestable de Bishop, et enfin la sincérité de ses dénégations. Et quand survient un meurtre similaire, il n’y a plus qu’une seule certitude : quel que soit le coupable, il est d’une habileté diabolique et extrêmement dangereux…

S’il en est un qu’il est superflu de présenter, c’est bien Harlan Coben. Chez Pocket aujourd’hui, un de ses plus grands succès : “Dans les bois”. Été 1985, New Jersey. Paul Copeland est animateur d’un camp de vacances à la lisière des bois. Une nuit, il abandonne quelques heures son poste. Quatre jeunes en profitent pour s’éclipser, dont sa sœur, Camille. On ne les reverra plus. Seuls deux corps seront retrouvés. On attribuera leur mort à un tueur en série qui sévissait dans la région… Vingt ans plus tard. Paul est devenu procureur. Alors qu’il plaide dans une affaire de viol, il est appelé à identifier un corps. Stupéfait, il reconnaît formellement Gil Perez, un des disparus. Pourquoi les parents de Gil s’obstinent-ils à nier son identité ? Et si Gil a été en vie tout ce temps, se pourrait-il que Camille le soit aujourd’hui ? Bien décidé à faire la lumière sur le drame qui n’a jamais cessé de le ronger, Paul va replonger dans les souvenirs de cette terrible nuit…

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21 mars 2009 6 21 /03 /mars /2009 07:22
 

Parmi les détectives insolites de la littérature policière, celui créé par Jason Goodwin sort vraiment de l’ordinaire. Nous sommes à Istanbul, sous le règne du Sultan Mahmut, dans la première moitié du 19e siècle. Dès que des actes criminels sont commis au palais du sultan, on fait appel à l’eunuque Hachim pour enquêter. C’est au cœur de cette ville encore pleine de mystère qu’il trouve la vérité et déjoue les conspirations.
Le complot des Janissaires (10-18). Un officier de la nouvelle garde du Palais est retrouvé mort noyé dans un chaudron de la confrérie des marchands de soupe de la ville. L’eunuque Hachim est dépêché au Palais du Sultan, où il se voit confier la responsabilité de retrouver les assassins. Trois autres gardes sont bientôt retrouvés assassinés dans des conditions épouvantables. Aidé de son fidèle ami l’ambassadeur de Pologne Stanislaw Palieski - personnage atypique qui enduit ses pieds de noir parce que ses chaussures sont en réparation - et de Preen, danseuse transexuelle, Hachim recherche la moindre piste. Il rencontre les tanneurs, les marins, les veilleurs de nuit, les vendeurs du marché, pénètre par effraction chez l’ambassadeur de Russie, s’infiltre dans les couloirs du sérail, fréquente le hammam, les cafés, visite les Archives du Palais. Hachim découvre ainsi que l’autorité du Sultan, qui croyait s’être débarrassé à jamais de la troupe des janissaires sanguinaires, devenus incontrôlables, est menacée. Les janissaires sont sûrement de retour pour prendre leur revanche ! Même le chef des ennuques qui a chargé Hachim d’ouvrir l’enquête, voit son autorité mise en cause.
Le trésor d’Istambul (10-18). La deuxième enquête de l’eunuque Hachim se passe en 1838 à Istanbul. Dans son palais surplombant le Bosphore, le sultan Mahmud II, artisan des réformes de l’Empire ottoman, est à l’agonie. Au-dehors, les rumeurs les plus folles vont bon train. L’arrivée imprévue d’un archéologue français à la recherche de trésors byzantins perdus plonge la communauté grecque dans le désarroi. Hachim Togalu reprend du service. Mais quand le corps mutilé de l’archéologue est retrouvé près de l’ambassade de France, c’est lui qui devient le premier suspect. Hachim se lance dans une course contre la montre pour découvrir ce que cache une étrange société œuvrant pour le rétablissement de l’Empire byzantin… On retrouvera le même héros dans “Le mystère Bellini” (Plon, 2009).

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