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2 décembre 2008 2 02 /12 /décembre /2008 08:56
 

Œuvres d’auteurs confirmés, trois puissants thrillers nous sont proposés chez Pocket, en ce mois de décembre. D’abord, une nouvelle aventure de Lucas Davenport, chef adjoint de la police de Minneapolis, dans “Une proie mortelle”, de John Sandford. Clara Rinker est une tueuse à gages, qui a la réputation d’être implacable. Le FBI ne dispose que d’un maigre dossier à son sujet. Pourtant, la liste de ses victimes est impressionnante. Toutefois, il semble que Clara Rinker ait cessé ses activités depuis quelque temps. À Minneapolis, Lucas Davenport est occupé par le chantier de sa nouvelle maison quand une info lui apprend que Clara est de retour. Rescapée par miracle d’un attentat qui a tué son amant, c’est une femme ivre de vengeance qui reprend du service. Les responsables de l’attentat regrettent déjà leur erreur. Tandis que la police et les Fédéraux sont impuissants, Clara remonte sa piste sanglante. Lucas Davenport la connaît parfaitement. Il sait que s’annonce entre eux un duel mortel…

Restons dans le même Etat américain, le Minnesota, puisque Duluth est le décor de la première enquête de Jonathan Stride, “Jamais je ne reviendrai”, de Brian Freeman. Pour la seconde fois en un an, la ville de Duluth est agitée par la disparition d’une adolescente. Après la jeune Kerry, littéralement volatilisée, c’est au tour de Rachel de s’évanouir dans la nuit. Selon la rumeur, Rachel est une très précoce mangeuse d’hommes. Cette fois, l’inspecteur Jonathan Stride est décidé à faire toute la lumière. Ténébreux, obstiné, le voilà plus impliqué dans cette affaire qu’il ne le pensait. C’est au cœur d’une sale histoire de famille, de jalousie, de vengeance et de haine, qu’il doit chercher la vérité. De la neige du Minnesota au sable du désert de Las Vegas, le secret de Rachel ne se livre pas si facilement. Sans doute faudrait-il du temps. Et l’aide de Serena Dial, de la police métropolitaine de Las Vegas…

Premier roman de James Patterson traduit en France, “L’été des machettes” est aujourd’hui publié chez Pocket. L’action se passe en 1979 à San Dominica, une île paradisiaque des Caraïbes. En parallèle d’un procès, des troubles éclatent, causant de nombreuses victimes. Un avion explose à l’atterrissage, suite à un attentat. Un jeune couple de hippies est tué à la machette sur la plage de Turtle Bay. Le président du syndicat des agents de voyages américains est assassiné. Ces actions sont attribuées au colonel Monkey Dred, le révolutionnaire de l’île. D’ailleurs, une sanglante revendication confirme qu’il est à l’origine de ces crimes. Ancien soldat des Marines, Peter Macdonald est pour le moment barman dans un hôtel de luxe de San Dominica. À Turtle Bay, en marge du meurtre des jeunes hippies, il a remarqué la présence d’un Blanc armé. Qu’il s’adresse au conseiller Campbell, de l’ambassade américaine, ou aux autorités locales, Peter n’est pas écouté. Simple série de faits divers pour Campbell, risque de révolution pour les responsables de l’île. Pourtant, cette opération est bien dirigée par Damian Rose et son épouse Carrie, engagés conjointement par la CIA et la Mafia. Campbell avertit le patron des services secrets qu’un témoin gênant, Peter, a repéré Damian Rose. Malgré l’exode des touristes, le criminel continue à cibler quelques victimes, et à manipuler le colonel Monkey Dred. Quand Peter et sa compagne Jane sont pourchassés par les sbires de Damian Rose, l’ancien militaire estime qu’il est temps de réagir. Un roman palpitant, qui ne manque pas d’ironie.

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23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 09:00

La collection Grands Détectives, chez 10-18, propose deux nouveaux inédits. Viviane Moore présente le cinquième épisode de sa saga Tancrède le Normand, intitulé “Le sang des ombres”. Nous sommes en l’été 1156. Voilà deux siècles que Grecs puis Romains dominent la Sicile, mais les étendues sauvages de l’intérieur de l’île restent inchangées. C’est dans ce pays de légende, entre villa romaine et temples grecs, qu’est découvert le cadavre atrocement mutilé d’une servante. Un véritable carnage. Homme ou démon, la “bête” fait régner la terreur en s’attaquant aux filles et aux femmes ayant la malchance de croiser son chemin. Pour la première fois de sa vie, Tancrède d’Anaor se trouve seul face au crime. Tout en se débattant dans les affres d’une passion tumultueuse, il doit débusquer celui qui le défie. Tancrède mène une enquête à haut risque en se lançant dans la traque du monstre. Seul le sang des ombres peut apaiser la fureur de celui-ci. (On peut consulter le site de l’auteur
www.vivianemoore.com).

Les aventures de Charlotte et Thomas Pitt, ainsi que sa série William Monk, ont apporté le succès à l’Anglaise Anne Perry (qui vit aujourd’hui en Écosse). Son nouveau titre, “Le secret de Noël”, est de saison. Nous sommes en décembre 1890. Avec son épouse Clarice, le pasteur Dominic Corde va passer trois semaines à Cottisham. Il remplace le révérend Wynter, parti en vacances. Ce charmant village séduit rapidement le couple. Ils font la connaissance de Mrs Wellbeloved, qui assure le service chez le révérend, mais sera peu présente lors des fêtes de fin d’année. Peter Connaught, le jeune châtelain de Cottisham, leur rend un visite amicale. Pour mieux saisir l’ambiance locale, Dominic rencontre Mr Boscombe et son épouse, qui semblent avoir des soucis financiers. Jusqu’à une époque récente, Boscombe fut proche du pasteur Wynter. Clarice s’étonne que le révérend ait oublié sa propre Bible, et que personne ne sache où il est en vacances. Il n’a pas pris non plus son matériel à dessin, ni ses chauds vêtements d’hiver. Alors que Dominic s’inquiète du sermon qu’il doit préparer pour Noël, Clarice découvre un cadavre dans la cave. Le médecin parle de mort naturelle. Pourtant, des traces indiquent que le corps a été traîné au fond de la cave…

Le sang des ombres et “Le secret de Noël”, deux ambiances fort différentes, pour des romans de belle qualité.

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19 novembre 2008 3 19 /11 /novembre /2008 08:47

 Deux nouveautés publiées en ce mois de novembre chez Pocket ont déjà été évoquées ici, “Terminus Elicius de Karine Giebel et “Mauvais sang” de Tess Gerritsen (voir précédents articles). Mais il faut aussi signaler la sortie du roman de Thomas Harris “Hannibal Lecter – Les origines du mal”. Ce nouvel épisode revient sur la jeunesse et les traumatismes d’Hannibal le Cannibale. C’était un petit garçon sage, intelligent et d’une grande sensibilité artistique. Mais vint la guerre. Il vit ses parents mourir sous ses yeux. Il fut capturé par des pillards abjects. Il souffrit de la faim et du froid, avant de leur échapper. Et puis, il fut marqué par le sort de sa petite sœur, Mischa. Les qualités des romans de cette série ne sont plus à démontrer… À découvrir également, les deux tomes de “Mortelles connivences”, un suspense d’André Delauré. La première partie, “La Banquière”, commence ainsi : Jeune et brillante recrue d’une grande banque bordelaise, Valérie Lataste va de surprises en surprises en épluchant les comptes extravagants d’un artisan local. Il apparaît évident que ce Dubreuil s’est fourvoyé dans des combines qui le dépassent. Valérie ne veut pas croire en son entière responsabilité, et enquête avec obstination. Elle découvre qu’il n’est que le comparse floué d’un diabolique système de corruption, qui dépasse la région et touche les hautes sphères de l’État. Valérie affronte seule cette mafia immobilière, ces notables et policiers véreux. Elle met des vies en danger, et risque même la sienne. Derrière les façades cossues de Bordeaux, un combat mortel se prépare… À suivre dans “Les sous-traitants”, où Valérie est victime d’une machination qui la conduit en prison…
Enfin, retour sur le tout premier suspense de Nicci French, datant de 1997, “
Mémoire piégée”. Natalie Martello a disparu voilà un quart de siècle. Son squelette vient d’être découvert dans le jardin familial. C’est un meurtre, selon la police. Le doute s’installe chez les Martello, et l’équilibre du clan s’en trouve menacé. Car ils sont tous détenteurs d’un terrible secret. Jane fut la meilleure amie de Natalie. Avec l’aide d’un psychanalyste, elle fouille dans ses souvenirs de l’époque. Peut-être détient-elle la clé d’une énigme remontant à vingt-cinq ans ?

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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 08:41

 Bonne nouvelle : “Terminus Elicius”, le premier roman Karine Giebel vient d’être réédité chez Pocket. Depuis, elle a confirmé son talent avec “Les morsures de l’ombre” ou “Chiens de sang”. Mais ce suspense, qui obtint le Prix Marseillais du Polar, mérite d’être lu par le plus grand nombre.
C’est l’histoire de Jeanne, employée administrative dans un commissariat. Discrète, elle mène une vie réglée avec précision. Deux fois par jour, elle prend le train entre Istres et Marseille, de la maison où elle habite avec sa mère à son bureau, et retour. Le soir, elle s’assoit toujours à la même place. C’est ainsi qu’elle trouve un jour une lettre d’un inconnu, lui étant destinée. D’autres courriers suivent, mystérieusement signés Elicius. Pendant ce temps, au commissariat, le capitaine Esposito et son équipe traquent un tueur en série qui sévit dans la région marseillaise. Jeanne n’est pas insensible au charme du policier, mais se pense trop neutre pour qu’il la remarque. Bientôt, le correspondant de Jeanne s’introduit chez elle pour y déposer une lettre. Il y annonce un prochain meurtre. Esposito commence à s’interroger sur la jeune femme. Jeanne s’engage dans un jeu qui peut s’avérer extrêmement dangereux…
Chroniqueur expert, Paul Maugendre ne s’était pas trompé sur les qualités de ce roman, le comparant aux suspenses de Boileau-Narcejac adaptés par Hitchcock. “… Ainsi l’identité de ce Michel qui sera dévoilée au tout dernier moment, ou encore le mobile de ce meurtrier en série qui sait si bien se fondre dans la nature. L’angoisse est diffuse, et la double personnalité de Jeanne entretient le suspense sans créer de temps mort. Une réussite pour un premier roman, avec un mobile peu usité dans la Littérature policière…” (l’Année de la Fiction, volume 13). À découvrir dès aujourd’hui chez Pocket.

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10 novembre 2008 1 10 /11 /novembre /2008 08:30

 Née en 1953 à San Diego (Californie), Tess Gerritsen a obtenu en 1979 son diplôme de docteur en médecine. Quelques années plus tard, elle commence à écrire des suspenses romantiques. Avec son dixième titre, “Donneur sain” (1996), elle se lance dans le thriller médical. Les héroïnes de ses romans sont des femmes médecins, confrontées à des situations criminelles complexes. En 2001, Tess Gerritsen crée le personnage de Jane Rizzoli, policière que l’on retrouve dans quatre romans, à ce jour (“Le Chirurgien”, “L’Apprenti”, “La Reine des morts”, “Lien fatal”). En ce mois de novembre, sortent simultanément deux titres de Tess Gerritsen, “Mauvais Sang” chez Pocket, et “Lien Fatal” chez Sang d’Encre (Presses de la cité). Quelques mots sur chacun de ces captivants romans.
Mauvais Sang” : En s’installant avec son fils au bord du lac de Tranquility, paisible bourgade du Maine, le docteur Claire Elliot pensait prendre un nouveau départ. Mais, à l’approche de l’hiver, des évènements alarmants viennent troubler la quiétude de la petite ville. Des ossements humains sont découverts, tandis qu’une épidémie de violence se propage parmi les jeunes. En proie à une crise de folie furieuse, un des patients de Claire commet l’irréparable. Ce qui incite la jeune femme à s’interroger. Aidée par le chef de la police locale, elle cherche à comprendre ce qui transforme ces adolescents sans histoire en bêtes sanguinaires. Tandis que la pression monte, elle doit trouver le terrifiant secret qui hante les eaux du lac voisin…
Lien Fatal” : Considérée comme le meilleur médecin légiste de Boston, Maura Isles côtoie la mort au quotidien. Les cadavres l‘impressionnent peu. Mais, cette fois, c’est le corps sans vie de son parfait sosie auquel elle est confrontée. Étonnante coïncidence, la victime a été assassinée devant la maison de Maura. Épaulée par sa complice habituelle, l’inspecteur Jane Rizzoli, enceinte de huit mois, Maura veut en savoir plus sur ce mystérieux double. Son enquête l’entraîne dans un village côtier du Maine, où elle fait de surprenantes découvertes. Certaines sont directement liées à son propre passé. Maternité, secrets de famille et meurtres en série sont les ingrédients de ce suspense troublant.

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7 novembre 2008 5 07 /11 /novembre /2008 08:47

En ce mois de novembre, la collection Archipoche [ www.archipoche.com ] présente deux nouveaux titres particulièrement intéressants.
Peter Blauner (auquel fut décerné le Prix Edgar Allan Poe pour son premier roman, “L’irréductible”) est l’auteur d’un suspense sombre et dense, “Vers l’abîme”. Accusé d’avoir assassiné une jeune femme à coups de marteau, Julian Vega, d’origine portoricaine, a passé vingt ans en prison. Libéré pour vice de procédure à 37 ans, il tient désormais à prouver son innocence. Mais New York n’est pas une ville où il serait facile d’obtenir une seconde chance. D’autant que le policier qui lui extorqua ses aveux le harcèle. À peine Julian est-il sorti de prison qu’il lui colle un autre meurtre sur le dos. Un flic sur le déclin, nageant en plein brouillard. Un homme en quête de rédemption, mal adapté dans la société. L’un plonge vers l’abîme, l’autre essaie de sortir du gouffre. Des personnages forts, dans des situations dures, voire violentes. Un roman intense, palpitant.
John Berendt est connu du public grâce à son roman “Minuit dans le jardin du bien et du mal”, adapté au cinéma par Clint Eastwood. Savannah, petite ville de Géorgie, y apparaissait comme le "personnage principal" de l’histoire. Dans “La cité des anges déchus”, ce rôle est tenu par la cité de Venise. Lorsque John Berendt y arrive le 1er février 1996, flotte dans l’air une forte odeur de bois calciné. Trois jours plus tôt, la Fenice, le célèbre opéra de la Cité des Doges, a été ravagé par un incendie. Doit-on envisager un acte criminel ? Qui pouvait souhaiter détruire ce joyau de l’art vénitien ? L’auteur entreprend une enquête, qui l’amène à rencontrer quelques habitants de Venise : la fille d’Ezra Pound, un marchand de légumes, le directeur du musée Guggenheim, un maître verrier de Murano, et bien d’autres personnes. Ville inclassable, labyrinthe de canaux, la Sérénissime, aujourd’hui en déclin, possède une longue histoire. Et sans doute beaucoup de secrets…

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5 novembre 2008 3 05 /11 /novembre /2008 09:16

 Parmi les nouveautés d’automne chez 10-18, outre les inédits “Le miroir des ombres” et “La danse des illusions” de Brigitte Aubert (déjà évoqués ici) la collection Grands Détectives nous propose deux valeurs sûres : l’écossais Alexander McCall Smith et le suédois Åke Edwardson. On retrouve avec plaisir la suite des aventures de leurs héros respectifs.
Alexander McCall Smith s’est fait connaître grâce au personnage de la plantureuse Mma Precious Ramotswe. Première femme détective privée du Botswana, honnête et généreuse, cette héroïne est extrêmement attachante. Depuis quelques années, il a créé un nouveau personnage, l’américano-écossaise Isabel Dalhousie. Vivant à Édimbourg, elle est rédactrice en chef d’une revue d’éthique appliquée. Dans “Une question d’attitude”, Isabel rencontre Tom Bruce, homme d’affaire texan en visite à Édimbourg. S’ensuit une série de quiproquos. La fiancée de Tom Bruce s’intéresse beaucoup à la gent masculine. Le comportement de Tom à l’égard d’Isabel n’apparaît pas très clair. Comment réagir quand on devine mal les intentions d’un homme ? Beaucoup d’humour et de finesse, caractéristiques de cet excellent romancier...
Approchant la quarantaine d’années, célibataire et élégant, Erik Winter est commissaire de police à Göteborg, deuxième ville de Suède. C’est le héros des romans de Åke Edwardson, depuis “Danse avec l’ange” (2002). Dans “Chambre numéro 10”, Erik Winter enquête sur la mort d’une femme, retrouvée dans une chambre d’hôtel à Göteborg. Il s’aperçoit qu’il est déjà venu là, dix-huit ans plus tôt, lors de la disparition d’une autre jeune femme. Erik Winter reste persuadé d’être passé à côté de quelque chose. Quel peut donc être le point commun entre ces deux femmes ?

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21 octobre 2008 2 21 /10 /octobre /2008 08:13

 A l'occasion de la sortie du film “Mesrine – L'instinct de mort” (avec Vincent Cassel dans le rôle du truand), interview de Bruno Mesrine sur son père, pour Télé Star (20/10/2008) : “... Au quotidien, il avait un côté très sympa, rigolard, tendre. Il avait une aura impressionnante (...) J'ai vécu avec mon père de ma naissance à l'âge de trois ans. Puis mes grands-parents, qui m'ont élevé, m'ont fait croire que j'étais orphelin. A huit ans, j'ai découvert qu'il était en vie. J'ai appris à le connaître a parloir. Quand il était en cavale, la police n'était jamais loin de la maison...” Personnage complexe, Jacques Mesrine ne fut probablement pas l'homme angélique vu par son fils. Beaucoup de témoignages ont circulé sur Mesrine. On retient surtout la version grand banditisme, “ennemi public n°1”. Les médias de l'époque y ont contribué, dressant un portrait basé sur les vérités policières. Ainsi, on a effrayé la population, et glorifié ceux qui l'ont abattu en novembre 1979. On a également fait de Mesrine un héros pour toute une génération de petits délinquants. En avril 1976, Martine Malinbaum est désignée pour devenir l'avocate de Mesrine. Débutante, cette jeune femme de 26 ans souhaite garder ses distances avec son client, dont la réputation n'est plus à faire. Alors Mesrine lui écrit une trentaine de lettres, où il se raconte. Elles montrent un aspect différent de ce truand. Sans doute veut-il émouvoir son avocate, jouer de sa trouble séduction. L'important est qu'il livre ses pensées, parfois naïvement, avec une certaine sincérité. Ce témoignage-là, c'est celui de l'homme Mesrine. Une autre facette, pour un vrai document. “Mesrine intime”, aux Editions du Rocher.

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