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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 08:29

 Le nouveau suspense de Brad Meltzer est, une fois encore, riche en rebondissements et absolument captivant. L’intrigue de "Mort avec retour(XO Éditions, 2009) s’avère d’une parfaite efficacité. L’auteur reconstitue avec précision l’ambiance autour d’un ex-président américain. Y compris dans les traîtrises et autres manipulations régnant dans son entourage, ou dans certains services secrets. Aveuglé par sa fidélité, le héros parviendra-t-il à dévoiler la réalité des faits ? En qui doit-il avoir confiance ? Bel exemple de roman entraînant et palpitant, dont chaque péripétie invite à poursuivre la lecture.

Leland Manning, ancien président des Etats-Unis, est en déplacement officiel en Malaisie. Son conseiller Wes Holloway surprend un intrus dans la loge présidentielle, qui va prendre la fuite. Il reconnaît immédiatement Ron Boyle, le meilleur ami du Président, mort huit ans auparavant. À l’époque, Manning fut visé par un attentat sur le circuit de Daytona. Les tirs causèrent le décès de Boyle. Wes Holloway fut gravement touché. Il garde toujours sur son visage les séquelles de sa blessure. Le tireur, un mystique nommé Nico, fut vite arrêté. À cause de l’attentat, Manning rata sa réélection. Wes est encore membre de la fidèle équipe de Manning, tous aujourd’hui installés en Floride.

De retour à Palm Beach, Wes ne se peut se confier qu’à deux personnes : son éternel copain Rogo, avocat spécialisé dans les PV, et son ami Dreidel, ancien conseiller du président. L’incident dont a été témoin Wes intéresse trois personnes : O’Shea, du FBI, et son collègue Micah, ainsi que Roland Egen (dit Le Romain) membre des sphères gouvernementales. De son bureau, ce dernier capte les moindres paroles de Wes, grâce à un micro qu’on a posé sur lui à son insu. Nico, le tireur, est interné en psychiatrie. Bien conditionné, il reste obsédé par sa croisade contre les francs-maçons. Le Romain l’aide à s’évader. Nico prend la route vers la Floride. Avec Rogo et Dreidel, Wes se renseigne aux archives présidentielles sur Ron Boyle. O’Shea et Micah surveillent toujours Wes. Journaliste au "Palm Beach Post", Lisbeth a flairé l’exclusivité, comprenant que Boyle est toujours en vie. Elle va collaborer avec Wes et ses amis dans leur enquête. Le fidèle assistant de l’ex-président réalise qu’on lui a caché bien des choses. Il devient pour lui indispensable d’approcher la vérité.

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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 07:16
 

Trois nouveautés dans le domaine du suspense nous sont présentées par les Éditions Liana Levi. Trois romans aux contextes très différentes, on va le voir.

Naïri Nahapétian : "Qui a tué l’ayatollah Kanuni ?" Téhéran, juin 2005, veille de l’élection de Mahmoud Ahmadinejad. L’ayatollah Kanuni, un juge tout-puissant qui préside depuis 25 ans à la répression des opposants iraniens, est retrouvé assassiné dans son bureau du Palais de justice. S’agit-il d’une revanche des Moudjahedin du peuple? Ou bien est-ce un nouveau règlement de comptes entre mollahs? Malgré eux, trois personnages se trouvent mêlés à cette affaire. Narek Djamshid, qui, après avoir quitté l’Iran enfant avec son père pour se réfugier à Paris, rentre pour la première fois dans ce pays. Leila Tabihi, une « féministe islamique » qui tente en vain de se présenter aux élections présidentielles depuis des années. Mirza Mozaffar, ancien politicien, homme public en déclin, mais membre toujours fringuant de la jet set téhéranaise et don juan infatigable. Ces trois points de vues sur l’Iran structurent ce roman qui nous fait découvrir que les mollahs sont des hommes d’affaires comme les autres, mais aussi que la boisson préférée de la jeunesse iranienne est le Parsi Cola ! L’enquête policière permet de revenir sur la période sanglante qui a marqué l’instauration de la République islamique. Narek éclaircira ainsi les circonstances de la mort de sa propre mère, au lendemain de la révolution de 1979. Enfin, en filigrane, sont évoquées les raisons de la victoire de l'actuel président iranien Mahmoud Ahmadinejad.

Anne-Laure Thiéblemont : "La Mouche d'Alexandrie". Stupeur dans le petit monde de la photo ! Quelques semaines après le vol de deux albums de Victor Leclair au musée de Chantilly, un troublant nu signé du même artiste obtient un prix record chez Christie’s. Pourquoi le nom de Leclair, tombé dans l’oubli depuis sa disparition au Moyen Orient au milieu du XIXe siècle, resurgit-il pour enflammer le marché ? Et que peut bien signifier cette mouche discrètement logée à l’arrière-plan du précieux cliché ? Pour Marion Spicer, spécialiste de la traque des œuvres volées, débute une captivante enquête qui, de secrets d’experts en marottes de collectionneurs, l’entraîne aux origines de la photographie. À plus d’un siècle d’écart, l’émouvant journal de Louise, singulière compagne de Victor Leclair, mènera le lecteur sur les bords du Nil au cœur de leur relation énigmatique. Une relation dans laquelle Louise se demande qui est vraiment l’homme qui partage sa vie…

Gérard Delteil : "Gombo". Dans certains pays, critiquer la femme du Président vous conduit tout droit en prison. Et en prison, il fait chaud, encore plus chaud que sous le soleil d’Afrique qui plombe les rues. Les secrets qui y traînent risquent même de vous brûler les ailes. Des secrets qui mettent en cause de puissantes entreprises pharmaceutiques occidentales et qu’un petit journaliste camerounais trop curieux ferait mieux d’ignorer. Pour Jean-Christophe Assamoa, il est temps de prendre la tangente. Mais dans Douala la grouillante, il n’est pas facile de se cacher des regards indiscrets. Par chance et par hasard, Assamoa apprend qu’un de ses anciens camarades d’université français réside en ville. C’est à lui qu’il demandera de l’aide. Mais même pour un "expat" blanc, les choses ne sont pas simples. Le recours à des intermédiaires influents et aux "gombos", ces bakchichs que tout le monde convoite, ne suffisent pas toujours à protéger un homme traqué.

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15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 08:31
 

Signalons la sortie du nouveau roman de Sébastien Fritsch : “Derrière toute chose exquise” (2009, Éditions du Pierregord), dont voici la présentation.

Un roman bleu-noir, à la fois sentimental et cruel, où se tissent des liens tragiques entre la beauté et la mort. Jonas Burkel, photographe quadragénaire, mène depuis toujours une vie sans à-coups, sans ambition, sans émotion excessive. Ses journées ne sont qu’un simple assemblage d’habitudes : le confort de son appartement, ses disques d’Oscar Peterson, ses heures de contemplation ou d’errance solitaire dans les rues de Paris et, surtout, les femmes qui se succèdent, au fil des ans, face à son objectif. Elles aussi, comme le décor, la musique ou la lumière de ses clichés, le rassurent. Et pour cela, elles se doivent de ne jamais varier : toujours jeunes, grandes, brunes, fragiles, elles sont surtout exceptionnellement belles. Belles comme des anges, pense Jonas. À la différence que les anges, eux, ne meurent pas.

http://www.editionspierregord.com/

Sébastien Fritsch rencontre les lecteurs. Samedi 28 février à St-Genis-Laval (Rhône) Librairie Decitre, 15h à 18h - Samedi 7 mars à Villefranche/Saône (Rhône) Librairie Develay, 16h à 18h - Samedi 14 et dimanche 15 mars au Salon du Livre de Paris - Samedi 28 mars à la librairie Decitre de Lyon Part-Dieu (Rhône) - Vendredi 10 avril à la librairie Pages d'écriture, St-Yrieix-La-Perche (Haute-Vienne) - Samedi 11 avril à la librairie Marbot, Périgueux (Dordogne) - Samedi 16 mai (15h à 18h): Librairie Spirale, à Oullins (Rhône).

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14 février 2009 6 14 /02 /février /2009 13:20

Voici un roman de Gérard Delteil à redécouvrir :
L'inondation”(Archipoche). Début janvier 2011, la crue de la Seine menace Paris. On redoute une inondation plus dramatique que celle de 1910. Partout présents aujourd’hui, les systèmes électriques ne supportent pas l’eau. Martine Perlican, Préfète de région, gère au mieux la situation. Ses rapports sur la prévention des risques d’inondation n’ont jamais été suivis d’effets. Gamelin, numéro deux d’Europe Télécom, dirige une cellule de crise. Il charge Collard, un des cadres, de récupérer des parpaings pour protéger leurs installations. Sarah Brandt, fanatique au service d’une puissante secte, va favoriser l’Apocalypse. Ses amis et elle font sauter quatre barrages pour augmenter le niveau des crues. Un vieux truand recrute deux jeunes complices. Dans le nouveau Forum des Halles, envahi par les eaux, ils peuvent cambrioler les bijouteries sans alarme. Les habitants d’un immeuble de la rue Daubenton s’organisent. Nicolas, de la Protection Civile, n’y ménage pas ses efforts pour contenter tout le monde. Piles et bougies manquent : le marché noir profite à ceux qui en ont stocké. L’évacuation de la population est chaotique. Martine Perlican devine que les politiques l’ont choisie comme fusible, elle fait un bouc émissaire idéal. Chez Europe Télécom, Gamelin disjoncte et séquestre ses cadres...
Le manque de prévention, de moyens, de solidarité, ainsi que diverses incompétences, ne font qu’aggraver de telles catastrophes. Gérard Delteil s’est parfaitement documenté sur son sujet. Il nous invite à suivre différents protagonistes dans le chaos causé par la crue. de l'auteur : scénario solide, narration fluide, sujet maîtrisé. Cette “illustration par l’exemple” s’avère passionnante.

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14 février 2009 6 14 /02 /février /2009 07:19

 

Faut-il rappeler que le Juge Ti exista réellement ? Né en 630, décédé en l’an 700, il fut célèbre en Chine à l’époque de la dynastie T’ang. Il fut même nommé ministre de l’impératrice Wu. C’est Robert van Gulik (1910-1967) qui popularisa ce personnage en occident, faisant du Juge Ti le héros de dix-sept aventures. Romancier précoce et souvent récompensé, Frédéric Lenormand (né en 1964) entama en 2004 une nouvelle série des enquêtes du Juge Ti. À l’aide d’une documentation méticuleuse, il restitue avec justesse la Chine du 7esiècle dans ses rites et coutumes. Il a déjà publié aux Éditions Fayard une douzaine de romans de cette série, depuis “Le château du lac Tchou-An” (2004) jusqu’à “Panique sur la Grande Muraille (2008).

Le Juge Ti revient aujourd’hui dans “Le mystère du jardin chinois”. Nous sommes dans la région de Pou-Yang, en 669. Alors qu’une étrange “guerre du ciel” provoque la mort en masse des oiseaux migrateurs et des volailles dans son district, le juge Ti est pris dans une attaque de canards fous, tombe au sol et perd la mémoire. L’inspecteur Peng Shen envoyé par le Censorat pour examiner la situation l’envoie se reposer à la campagne avec ses trois épouses et ses enfants. La famille Ti trouve asile dans l’extraordinaire jardin que s’est fait construire un riche importateur de thé, Hu Nong. Il est préférable pour le juge Ti de se faire passer pour un médecin. Il se pose bientôt des questions sur les invités de leur hôte : un rigide militaire, un moine bouddhiste ambitieux, une hautaine dame de cour, une voyante alcoolique, un peintre célèbre, un étrange jardinier taoïste, et tout un personnel qui ne voit jamais Hu Nong. Des jardins, il en existe ici quatre, symbolisant les saisons. Au centre, un enclos où il est difficile d’accéder. C’est là que le propriétaire semble se cacher, dans une tour vouée à la méditation. Les invités veulent voir éclore le mythique lotus bleu, qui suscite chez eux une ferveur étonnante. Avec l’aide de madame Première, le Juge Ti enquête, supposant déjà de nombreux et noirs secrets.

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13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 11:59

 

Chez Pocket, sortent deux romans à lire absolument. Si les contextes criminels et géographiques sont très différents, il s’agit de deux suspenses de grande qualité.

Commençons par New York, avec “Mausolée” de Linda Fairstein. Quatre ans après ses premiers méfaits, “le violeur au bas de soie” vient dagresser une jeune étudiante Suédoise, qui est hospitalisée. Substitut du procureur de Manhattan, Alexandra Cooper est assistée dans son enquête par le policier noir Mercer Wallace, et par Mike Chapman, de la Criminelle. Linconnu semble bien connaître lUpper East Side, riche quartier new-yorkais. Ce nest peut-être pas un Afro-Américain, car son accent semble plutôt anglais… Au sous-sol dun bâtiment de la New York University, on trouve le cadavre dune femme qui y fut emmurée vivante vingt ans plus tôt. L’affaire rappelle certains textes d’Edgar Poe, lequel habita les lieux. Entre temps, une autre femme est attaquée et tuée dans le secteur du violeur, mais il peut s’agir d’un plagiaire. La femme emmurée est vite identifiée. Alexandra et les deux policiers interrogent ce qui les connurent autrefois, dont un flic révoqué et un ancien prof de la New York University. Le psy qui a reconnu sa patiente est retrouvé mort, sans que le suicide soit avéré. Les enquêteurs sintéressent à la Raven Society, groupe dadmirateurs dEdgar Poe… Un thriller animé réellement captivant !

Le commissaire Salvo Montalbano est un vieil ami, dont on suit toujours avec grand plaisir les enquêtes siciliennes. C’est plus que jamais le cas dans “La lune de papier”, d’Andrea Camilleri. Angelo Pardo a été assassiné à son domicile, peut-être après avoir eu une relation sexuelle. Cest sa sœur Michela qui sest inquiétée de labsence de son frère, visiteur médical âgé de 42 ans, dont elle est proche. Quand Montalbano fouille chez Pardo, il déniche la clé dun petit coffre qui a disparu, ainsi qu’un curieux livret de chansonnettes traditionnelles. Le policier est sensible au charme particulier de Michela, qui masque sa troublante beauté sous un habillement neutre. Pardo était lamant de la sensuelle Elena qui est tout lopposé de Michela. Elena na pas dalibi, nayant pas rejoint son amant ce soir-là. Elle forme un curieux couple, avec son tolérant époux. Michela la déteste et laccuse. Des lettres cachées dans la voiture de Pardo indiquent quElena fut plus jalouse quelle ne lavoue. Est-ce vers le passé secret de Pardo que doit s’orienter l’enquête de Montalbano ? Ou bien doit-il s’interroger sur les deux protagonistes principales de l’affaire ? Son expérience et son instinct lui sont, une fois encore, bien utiles… Sans oublier cet humour que l’on adore, dans les aventures de Salvo Montalbano.

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13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 07:27
 

Aux Éditions Sao Maï, Alassane Fingerweig vient de publier "Petites insécurités", un recueil de nouvelles ayant pour thème les violences policières. Juste quelques mots de présentation, en quatrième de couverture : “Sur le casque transparent des policiers, groupés là-bas en masse compacte, derrière la grille, la lune s'invitait aussi, disant en cette lumière l'anormal de la chose, révélant sa violence, détruisant ce qui pût subsister encore de ses prétentions secrètes.”

En 2002, Fingerweig a publié dans la collection Serpent Noir un premier roman intitulé "La boucherie est une science exacte", lauréat du Prix Arte mare 2003. Pour Hubert Artus, il s’agit d’un “roman appétissant, au rythme précis et enlevé. On suivra un homme qui fuit la pègre marseillaise avec un butin dérobé, des organisateurs de combats de chiens et des politiciens aguerris à ces systèmes de paris mafieux. Un bon exemple de béhaviorisme cher à Dashiell Hammett et J.-P. Manchette” (Rolling Stone, octobre 2002).

Pour Pierre Maury, dans son Journal d’un lecteur (2002), “Alassane Fingerweig semble avoir tout compris de ce qui fait un bon polar. Laisser un peu le lecteur dans l’ignorance, le faire avancer doucement, tout doucement, vers la compréhension des horreurs incompréhensibles cachées derrière les cadavres, ne jamais oublier de typer ses personnages, histoire de se familiariser très vite avec eux. C’est qu’on n’a pas beaucoup de temps pour résoudre l’énigme, pour lever progressivement le voile sur la vérité. Le livre est haché comme une musique très rythmée, hypnotique (…) Avant de prendre une correspondance pour une autre destination, qui ne peut pas être pire, il faut aller jusqu’au bout de l’exploration, suivre Fingerweig dans tous les détours imposés par le roman. Ensuite, mais ensuite seulement, on pourra recommencer à respirer.”

http://membres.lycos.fr/journallecteur/jourlect/index.htm
Faisons confiance à Mazel, qui a analysé ce roman sur son blog : Un cadavre est retrouvé tête et mains coupées boulevard Serurier à Paris, puis Alex, le patron d'un restau un peu louche rue d'Aubervilliers. L'inspecteur divisionnaire Hacquard remonte jusqu'à Pierre, jeune homme d'apparence tranquille et retiré, qui vit avec Claire rue Boyer - et jusqu'à son passé dans la pègre marseillaise, qu'il a quitté sur un coup un peu trop audacieux, doublant son patron et son organisation de combats de boxe et de paris clandestins, en partant avec la caisse... Sous des airs de polar classique, avec ses errances entre les 18, 19 et 20e arrondissements, ses dialogues à la Audiard, ses valises de biftons, ses personnages de tontons flingueurs, et de pâles et innocentes jeunes femmes, ce roman, qui met en exergue Musil, tord le cou aux règles du genre : les gentils (y en a-t-il?) comme les méchants meurent, dans d'atroces souffrances, aucune morale ne sort de la boucherie de la vie, et seuls restent les spécialistes : l'inspecteur Hacquard et le légiste Dahls, précis, désabusés et inutiles. http://mazel.canalblog.com

En 2004, Alassane Fingerweig publie "L’offensive du traître" (L’insomniaque). À découvrir en 2009 : "Petites insécurités", aux éditions Sao Maï.

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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 07:30















Des chroniques musique, cinéma, et romans - avec la participation de Claude Mesplède ; une enquête sur le thème Polar-Ghettos-Banlieues ; des photos, une double interview et une nouvelle… 36 pages d’infos !
Le n°2 du magazine semestriel L’Indic est désormais disponible à Nantes, dans les librairies suivantes : L'Atalante (15 rue des Vieilles Douves), Vent d'Ouest (5 place du Bon Pasteur), Durance (4 allée d’Orléans), Coiffard (7 rue de la Fosse), et la Fnac (place du Commerce).

Ce numéro de L'Indic est également en vente à Paris à la librairie Terminus Polar, 1 rue Abel Rabaud, dans le 11e. On pourra peut-être le trouver bientôt à Cambrai et à Bordeaux. On peut toujours le commander à l’association Fondu au Noir, 27 rue Anatole Le Braz, 44000 Nantes, en joignant 4 Euros.

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