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14 juillet 2009 2 14 /07 /juillet /2009 06:20
 

Le n°3 du magazine L’Indic (36 pages) vient de paraître. On peut le commander (4 Euros, sans frais de port) à l’association Fondu au Noir, 27 rue Anatole Le Braz, 44000 Nantes ou se renseigner ici :
http://fonduaunoir44.blogspot.com

“Polar & alcool”, tel est le thème principal de ce numéro. Plutôt que d’en présenter le sommaire – avec les interviews de trois traducteurs, un article sur Ken Bruen, un autre sur la Prohibition, une réflexion sur l’alcool et le talent, quelques chroniques sur des romans à ne pas manquer, etc. – voici un court extrait de roman qu’auraient pu utiliser nos amis de L’Indic. L’alcoolisme fut le sujet de prédilection de David Goodis. Dans “L’allumette facile”, son héros (Rif) est un pyromane qui ne se souvient plus s’il a causé la veille un incendie mortel (cinq victimes). Il est activement recherché par la police qui connaît ses antécédents. En découvrant le plaisir du vin, il avait cru trouver un remède à sa manie incendiaire. Dans cet extrait, est décrite sa première expérience alcoolique :

“Ils avaient fait connaissance sept ans auparavant (…) Comme Rif frottait son allumette, Burt Pomfret l’avait hélé pour lui offrir à boire. Rif lui avait répondu qu’il ne buvait jamais. Burt lui avait demandé pourquoi, et Rif avait expliqué que le goût du whisky ne lui plaisait pas. Burt avait hoché la tête, l’air sagace : « D’accord, avait-il déclaré, le whisky a une odeur dégueulasse, de même que la bière et, en plus, c’est plein de bulles, autant boire du vent. Mais le vin, et surtout le muscat, ça n’a rien à voir. C’est une invention formidable qui vous procure à la fois la chaleur et le bien-être, tant au moral qu’au physique. Faut en avoir goûté pour s’en rendre compte. » Rif l’avait écouté en silence, souhaitant qu’il le laissât tranquille. Mais Burt avait si bien vanté les mérites du muscat que, finalement, rien que pour avoir la paix, Rif avait accepté la bouteille qu’on lui tendait et avait bu une goulée. Après y avoir goûté un certain nombre de fois, il avait senti se dissiper peu à peu cette fièvre qui le poussait à allumer le feu (…) Petite cause, grands effets ! Rif y avait songé plus d’une fois au cours des années suivantes : d’un seul coup, l’incendiaire s’était mué en ivrogne, sans douleur.” (© Gallimard, 1958 – Série Noire n°421, traduction Alain Glatigny)

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13 juillet 2009 1 13 /07 /juillet /2009 06:21
 

Le Prix Yves Gibeau est décerné par un jury composé d'élèves volontaires d'établissements du second degré, qui se réunissent tout au long de l'année lors de débats. Le jury récompense une œuvre littéraire parmi cinq ouvrages d'auteurs contemporains (parus en édition de poche). Ce Prix n’est pas destiné à récompenser une nouveauté, mais un roman récent dont les qualités ont été établies par les lecteurs.

Le lauréat 2009 du Prix Yves Gibeau est Jérôme Bucy pour "Jérusalem interdite", un roman qui avait déjà obtenu le Prix du Goéland Masqué à Penmarch. "Quoi qu'il arrive, ne va jamais à Jérusalem..." Telles sont les ultimes paroles de la mère de Luc Brugo. Une phrase terrible qui conduit le héros sur le lieu de sa naissance, au cœur du Moyen-Orient. Luc Brugo se laisse emporter dans un voyage initiatique jalonné de meurtres et d'étranges disparitions, un voyage dont la clé se situe au plus profond de son enfance. Car c’est bien le thème des premiers romans de cet auteur qui est au cœur de cette intrigue : la quête d’identité. Mystères et questions poursuivent le héros de ce voyage initiatique. Soulignons que Jérôme Bucy a aussi été récompensé par le Prix de la ville de Mauves-sur-Loire (dans le cadre du festival Mauves en Noir) pour "La Chambre d’ambre" (Éd. Belfond), son quatrième roman.

Sélectionnée en deuxième position du Prix Yves Gibeau pour son roman "Les peupliers noirs", Lucienne Cluytens donne sa réaction pour Action-Suspense :

« Je suis ravie que Jérôme soit le premier, (je ne le savais pas et mon éditeur non plus). Nous nous connaissons et je l'apprécie beaucoup. Sur les salons où nous sommes tous les deux, il m'envoie des clients car il a apprécié "La grosse". Mes impressions : Je suis heureuse que mon livre ait été remarqué par un public de jeunes car j'ai pris énormément de plaisir à mettre en scène une héroïne jeune, que j'ai voulu forte et fragile à la fois, et qui se débat dans les problèmes sociaux de notre temps avec beaucoup de courage et de ténacité. Elle m'a trotté longtemps dans la tête et maintenant, elle vit sa vie... Ce roman a été étudié pendant deux années pour le bac français dans un lycée de la région du Nord et la professeure m'a confirmé que ses élèves avaient bien accroché à ce roman à travers le personnage de Mariette. »

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12 juillet 2009 7 12 /07 /juillet /2009 17:30

Jean-Bernard Pouy comédien, vous avez pu le voir dans "Tirez sur le caviste". Pour savourer encore plus sa prestation, voici le making-of de sa principale scène.

 


Je hais le cinema
envoyé par SUITE-NOIRE. - Regardez des web séries et des films.

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10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 06:15
 

Dimanche 12 juillet vers 22h50, France 2 diffuse le deuxième téléfilm de la collection Suite Noire. C’est une adaptation du roman de Chantal Pelletier "Tirez sur le caviste", publié aux Éditions La Branche. La réalisatrice Emmanuelle Bercot a choisi l’un des livres les plus savoureux de cette série. La tonalité caustique de cette histoire carrément amorale est vraiment très réussie. Avec, dans le rôle du caviste sanglante victime, un nommé Jean-Bernard Pouy, comédien à ses heures. Au-dela du clin d'oeil, nous avons là un scénario fort, dans le meilleur esprit du roman noir. Un téléfilm à ne pas manquer.

Voici un large extrait de la chronique que j’ai consacré à "Tirez sur le caviste" en 2007, pour rayonpolar.com.

« Ce vigneron de Bourgogne est un gastronome ; ou plutôt un maniaque de la bonne cuisine, un “tatillon de la papille”. Un jour, il abat sa femme, qu’il estime mauvaise cuisinière depuis trop longtemps. Elle manquait autant de talent culinaire que de goût vestimentaire. Cacher le cadavre n’est pas un problème : les caves du vigneron sont vastes et équipées. A son ouvrier Christian, un peu simplet, il dit que son épouse est partie au Rwanda. L’humanitaire, c’était la passion de sa femme. Il finit par se convaincre qu’elle effectue réellement une longue mission là-bas.

A Macon, le vigneron croise par hasard une jeune paumée, Aline. Cette fille, il devine que c’est une cuisinière douée, l’aubaine du gourmet. Elle est réticente quand il veut l’engager, mais accepte. Au début, il doit la mater, l’adapter à ses horaires et à ses désirs gustatifs. Au besoin, une bonne torgnole la remet dans le droit chemin. Christian va aider Aline pour le jardin. On y cultivera légumes et plantes nécessaires aux mets à venir. Puisqu’on collecte des vêtements pour le Rwanda, le vigneron charge Aline de trier ceux de son épouse, avant de les lui expédier.

Les artichauts à la barigoule ratés, ce n’est pas plus appétissant que de la pâtée pour chiens. A cause de ce plat infect, le vigneron s’énerve. Il sort son flingue, visant la jeune cuisinière. Il ignore que, si tout le monde a un passé, celui d’Aline fut très particulier… La pulpeuse Vanessa avait des projets au Portugal. Avec son amante, elles braquèrent un caviste afin d’avoir le fric pour le voyage. Elle claquèrent cet argent dans un hôtel de Macon. Finalement, Vanessa fila seule vers Lisbonne, abandonnant sa compagne. Cette dernière fut embauchée par un vigneron, qui exploita ses capacités culinaires. Elle économisa son salaire pour rejoindre Vanessa. En triant les vêtements de la femme de son patron, elle découvrit le pactole caché par la disparue du Rwanda. Quand le vigneron la visa avec son arme, il ne savait pas qu’Aline avait déjà quelques meurtres à son actif (…)

Le portrait de ce gastronome égoïste est un régal : “J’avais effectivement tendance à être un peu intransigeant avec la nourriture, ce qui me paraissait normal (…) je mangeais quatre fois par jour, je ne voyais pas pourquoi il aurait fallu que je cauchemarde des milliers de fois par an.” Quant au cordon-bleu qu’il déniche, ce n’est pas exactement la jeune femme soumise qu’il imagine. »

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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 06:10
 

Francis Zamponi a étudié toutes les facettes d’une manipulation qui n’a pas atteint son objectif : l’affaire Markovic, parfaite illustration des plus sombres combinaisons dont l’état gaulliste était coutumier. Notre boulot n’est pas de faire éclater un scandale public. Il est de mettre Mazarin [Pompidou] hors-jeu. Lorsqu’il saura que tout a être découvert, il abandonnera la politique en échange de son impunité. Ceux qui nous dirigent n’en demandent pas plus explique ici le principal organisateur du complot. C’est une reconstitution des faits, sous forme de roman-vérité, que nous présente l’auteur de "69, année politique" (Seuil, 2009).

En 2008, Joseph Cladère - un ancien officier des Services de Renseignements français - est inculpé pour des malversations et incarcéré. Le septuagénaire dispose de sérieux atouts, des éléments remontant à quarante ans. Cladère fut impliqué dans les secrets de l’affaire Markovic. Il fait parvenir à la juge d’instruction, un par un, ses cahiers retraçant la face cachée de ce dossier qui fit scandale à l’époque. Un Yougoslave nommé Markovic est retrouvé mort dans les Yvelines, début octobre 1968. Le jeune policier Rioullens est chargé de l’enquête, avec son collègue expérimenté Parrant. Markovic est domicilié chez le couple d’Alain Delon, dont il est censé être l’homme à tout faire. On ne lui connaît aucune autre activité précise. Rioullens espère que la housse à matelas enveloppant le corps lui offrira une piste, mais c’est improbable.

En coulisse, ce décès donne des idées aux purs gaullistes, qui détestent Georges Pompidou, possible successeur du général. L’ancien premier ministre n’est pas un ex-Résistant, c’est un intellectuel qu’ils trouvent trop conciliant avec les communistes (en ces temps de Guerre Froide). Entouré d’une poignée de mousquetaires, Joseph Cladère met en œuvre une manipulation visant Pompidou. Cette Opération Mazarin est menée en concertation avec Brulard, patron des Renseignements Généraux. Leur Milady se nomme Monique Darbet. Vaguement attachée de presse dans les milieux artistiques, son rôle consiste à propager des rumeurs. Le journaliste Falleix, du Figaro, est un proche de Pompidou. À Falleix et à son fils, Monique Darbet laisse entendre que les soirées des couples Delon et Pompidou cachaient des partouzes. On utilise même des photos bidonnées pour le prouver. Markovic exécuté pour avoir voulu faire chanter ces hautes personnalités ? Le témoignage de Boris Ackov, un Yougoslave emprisonné, ne convainc pas les policiers Rioullens et Parrant.

La piste de Marcantoni, un truand protégé par ses antécédents de Résistant, ami de Delon, serait plus crédible. Qu’importe la vérité : Cladère fait remonter tous les éléments accablants pour Pompidou, avec l’aide de Brulard. Durant le week-end de la Toussaint 1968, le Général de Gaulle est informé des faits (truqués) et se montre sévère avec Pompidou. D’abord choqués, l’ancien premier ministre et son entourage réagissent bientôt face à la calomnie. Cladère se sert aussi de l’action en justice du frère de Markovic. Pourtant, début 1969, alors que Pompidou se pose ouvertement en successeur de De Gaule, l’opération psychologique s’avère un échec. Cladère veut encore y croire.

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8 juillet 2009 3 08 /07 /juillet /2009 07:35
 

Encore deux nouveautés qui ne manqueront pas de séduire les amateurs de suspenses intenses, chez Pocket. John Cardinal (en Otario) et Jimmy Paz (en Floride) sont confrontés à des affaires sanglantes, singulièrement troublantes.

La plupart des lecteurs de thrillers avaient découvert en 2003 le canadien Giles Blunt, scénariste et romancier né en 1952, à travers son grand succès “Quarante mots pour la neige”. On y faisait la connaissance de John Cardinal, de la brigade criminelle d’Algonquin Bay, dans l’Ontario. Il enquêtait sur un cruel serial killer dont les victimes étaient des adolescents. Personnage marqué par un épisode de son passé, John Cardinal s’inquiétait aussi de l’étrange comportement de sa coéquipière Lise Delorme, ancienne des Affaires internes… Le policier est de retour dans “Surgie de nulle part”. C'est la saison des mouches, à Algonquin Bay. Un pullulement d'insectes, bourdonnants, mordants, irritants, qui annonce la fin d'un trop court printemps. Avec son lot d'avanies pour la police locale : une jeune femme rousse, amnésique, qui court les bars avec une balle dans le crâne; un motard sauvagement démembré ; une guerre des cartels d'héroïne qui tourne à la lutte tribale. John Cardinal n'ignore pas que les mouches rendent fou. Psychologiquement fragile, sa propre femme Catherine frise la rechute. Et que penser de ces violences qui agitent la région, avec une barbarie nouvelle ? Faut-il y voir la main d'un mystérieux chaman indien, nouvellement débarqué ? Pour John Cardinal et Lise Delorme, une enquête mouvementée s'annonce.

En 2004, avec “Tropique de la nuit”, que Michael Gruber s'impose parmi les valeurs sûres du thriller. C'est à Miami que son héros, l'inspecteur Jimmy Paz, enquête sur des cas criminels particulièrement étranges. Dans ce premier roman, il traquait un assassin (baptisé par les médias L'avorteur fou), qui s'attaquait à des femmes enceintes, les éventrant, mutilant les fœtus. Il s'intéressait aussi à une archiviste médicale de l'hôpital de Miami, ayant changé d'identité, qui protégeait une fillette orpheline... Deuxième enquête de Jimmy Paz, “Les rivages de la nuit est désormais disponible chez Pocket. « Le flic regardait en l'air juste à ce moment-là, sinon il aurait raté ça. Pas l'empalement final, mais la chute. Le temps – une vertigineuse seconde – qu'il saisisse ce qu'était la masse sombre qu'il voyait grossir sur la façade de l'hôtel Trianon, c'était déjà fini (...) Il aurait pu s'agir d'un accident ou d'un suicide, mais quelque chose lui disait que ça sentait plutôt le crime. » Le cadavre qui vient de tomber sous les yeux d'un agent, c'est celui de l'homme d'affaires soudanais Jabir Akran al-Muwalid. Il a été préalablement abattu avant d'aller s'empaler, depuis le dixième étage, sur les grilles de l'hôtel Trianon. Quand Jimmy Paz pénètre dans la chambre du mort, il y trouve « une femme, agenouillée sur le faux tapis d'Aubusson, les mains jointes sur la poitrine, les yeux grands ouverts, le regard braqué droit devant elle. Paz entra dans son champ de vision, mais elle ne parut pas le voir. Il remarqua qu'elle murmurait quelque chose. Une prière? » En effet, sous le choc, la jeune Emmylou Dideroff, ânonne ses prières. L'inspecteur Jimmy Paz tient immédiatement sa coupable. Celle-ci invoque des voix de saintes qui lui parlent. Sur des cahiers d'écolier, elle confesse ses péchés hallucinés et nie le meurtre... Selon Lorna Wise, la psychologue, Emmylou est saine d'esprit. Quel crédit, alors, apporter à sa déposition ? Jimmy Paz va devoir chercher d'autres pistes, afin de comprendre une situation diaboliquement complexe.

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7 juillet 2009 2 07 /07 /juillet /2009 06:50
 

Organisé par l’association Corsicapolar, le troisième festival du polar corse et méditerranéen se déroule les 10, 11 et 12 juillet 2009, sur la place Foch, à Ajaccio. Venus de Sardaigne, de Catalogne, de Toscane, d’Émilie-Romagne, de Ligurie, du Piémont, du Languedoc-Roussillon, de Provence et de Corse, donnent rendez-vous aux lecteurs.


Parmi les auteurs annoncés, bon nombre sont connus des lecteurs français :
Valerio Evangelisti, Marcus Malte, Gilles Del Pappas, Maurice Gouiran, André Fortin, Laurence Biberfeld, Elena Piacentini, Serge Scotto, Jacques Mondoloni, et beaucoup d’autres.

Plusieurs animations sont proposées (dédicaces, entretiens, pièce de théâtre), dont des débats sur des thèmes de circonstance : le polar et les îles. C’est Michèle Witta, de la Bibliothèque des Littératures Policières (BILIPO), qui dirigera les débats en question.


Un évènement culturel et littéraire à ne pas manquer. Consultez leur site :
www.corsicapolar.eu


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6 juillet 2009 1 06 /07 /juillet /2009 06:33

15ème édition du Festival Le Chien Jaune à Concarneau, les 18 et 19 juillet 2009.

En partenariat avec le cinéma Le Celtic et en guise de mise en bouche Nadine Monfils fait son cinéma le jeudi 16 juillet 2009 à 20 heures en nous présentant son film "Madame Edouard" (musique de Benabar, avec Michel Blanc, Didier Bourdon, Dominique Lavanant Annie Cordy et Bouly Lanners… La projection aura lieu dans l’une des nouvelles salles du Celtic et sera suivie d’une causerie autour d’un verre en présence des intervenants. La Belgique y sera bien représentée.

L’inauguration du festival aura lieu sous le chapiteau installé cette année quai de l’Aiguillon, entre l’Office de Tourisme et la Ville Close, le vendredi 17 juillet 2009 à 18h, en présence des partenaires et des auteurs invités. Juste avant, à 16h, on pourra assister à une conférence autour du Polar régional. Des auteurs et des éditeurs interviendront pour expliquer la particularité de ces romans.

Commémoration du 20e anniversaire de la disparition de Georges Simenon. Pour rendre hommage à l’auteur disparu le 4 septembre 1989, Christian Libens, que les écrits et la passion pour Simenon ont mené aux quatre coins de l'Europe et même en Chine, ainsi que Patrick Raynal (directeur de collection chez Fayard Noir et préfacier de l’anthologie des romans américains de Georges Simenon qui vient d’être publiée aux éditions Omnibus) participeront à la conférence qui aura lieu à la bibliothèque le samedi 18 juillet à 11h sur le thème : Le Roman Populaire, de Jules Maigret à Gabriel Lecouvreur en compagnie de Jean-Bernard Pouy, auteur reconnu et créateur du Poulpe. (entrée libre)

Lecture-Performance sous le chapiteau le samedi 18 juillet 2009 à 20 heures (entrée libre). Textes choisis et mis en scène par Philippe Biaggi (L’Art Déraille) extraits de « La petite écuyère a cafté » (Jean-Bernard Pouy) et de « Trouille » (Marc Behm), accompagnés musicalement par Stéphane Marrec à la contrebasse, et ses amis du Cercle… et illustrés en direct par Joë.G.Pinelli.

Liste non exhaustive des auteurs et des illustrateurs annoncés, les 18 et 19 juillet:

Ted BENOIT, Jean-Paul BIRRIEN, Claude COUDERC, Michel COURAT, Michel DEMARS, Jean-Paul DEMURE, Michel DREAN, Jean-Jacques EGRON, Pierre HANOT, Stéphane JAFFREZIC, Anne-Solen KERBAT-PERSONNIC, Marco KOSKAS, Firmin LE BOURHIS, Bruno LE FLOCH, Martine LE PENSEC, Christian LIBENS, Nadine MONFILS, Anne-Yvonne PASQUIER, Jean-Marc PERRET, Joë.G.PINELLI, Jean-Bernard POUY, Patrick RAYNAL, Jean-Jacques REBOUX et Karl TOLLET

Source : www.lechienjaune.fr

Les images du Chien Jaune 2008 : Concarneau - visité guidée  

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