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23 juillet 2009 4 23 /07 /juillet /2009 06:14
 

Basés à Nice, Mémoires Millénaires Éditions présente des livres couplant un dossier scientifique et un roman historique à suspense. Une approche qui permet de retracer des situations au plus près de leur contexte d’époque. Voici leurs romans récents.

Fabrice Anfosso : "Le Manuscrit de la Porte" (2008, dossier scientifique dirigé par Marc Bouiron). Juillet 1406. S’opposant au pape élu Innocent VII, le schismatique Benoît XIII s’installe au château de Nice. Narrateur des faits, l’Officier de garde (au service du sénéchal et du viguier) est chargé de veiller sur le pontife. Dans le même temps arrive à Nice sœur Colette, future sainte, venue proposer à Benoît XIII d’importantes réformes religieuses. Comme le pape autoproclamé, l’Officier est fort impressionné par la jeune femme - qui a la réputation de faire des miracles. Plusieurs cardinaux proches de Benoît XIII décèdent en quelques jours. Leur mort est attribuée à la peste, qui sévit partout. L’Officier doute, certains signes ne correspondant pas à la maladie. Les quatre défunts cardinaux s’étaient déclarés contre les réformes voulues par sœur Colette.
Si le viguier Barthélemy Provana préfère parler d’acte divin ayant châtié les prélats, les indices relevés sont bien humains. Malgré tout, l’Officier est décidé à poursuivre son enquête. Difficile pour lui de suspecter sœur Colette. Il déjoue une tentative d’empoisonnement contre lui-même, semblant prouver que l’ennemi entre aisément au château. Dans son sommeil, l’Officier reçoit un message de Dieu, lui donnant mission de découvrir la vérité. Il se réveille avec les stigmates du Christ. Exhumant le corps du premier cardinal, il comprend la méthode d’empoisonnement. Bien que le cardinal Michel de Salva fasse partie des quatre victimes, ce fut lui qui initia le complot. Sans doute visait-il aussi Benoît XIII. Il existe donc un second assassin, menant un autre jeu…

Ugo Bellagamba : "La 8e colline de Rome" (2009, dossier scientifique dirigé par Monique Jannet). En l’an 268, la mort de l’empereur romain Gallien entraîne de nouveaux bouleversements au sein du pouvoir. L’ex-impératrice Cornélie Salonine a fui Rome, accompagnée de sa servante Tertia, du fidèle Primo. C’est le guerrier goth Quintus qui assure la sécurité de Cornélie. Leur convoi arrive incognito, de nuit, à Cemenelum (Cimiez). L’impératrice se place sous la protection du gouverneur Aurelius, qui lui prête sa propriété. Afin de rester anonyme, elle se fait passer pour une veuve, riche donatrice finançant l’extension des thermes de la ville. En visitant le chantier en question, Cornélie croise un artisan chaufournier, Nertovalus, qui l’impressionne et la charme. Si la famille Fabii contribua à l’essor de la cité, cet homme est issu de la tribu qui fonda Cemenelum. La confiance s’établit bientôt entre Nertovalus et Quintus. Bien que sujet de l’empire romain, Nertovalus appartient à la nouvelle mouvance religieuse, les chrétiens.
Venant de Syracuse, le jeune esclave Hector (13 ans) est un enfant cultivé et philosophe. On va l’employer aux thermes de Cemenelum, où - rebaptisé Sixte - il sera au service des patriciennes fréquentant les lieux. Très vite, Cornélie devient son unique cliente. L‘ex-impératrice a senti que cet enfant l’aiderait à surmonter ses peines, et à comprendre cette religion des chrétiens que le défunt empereur Gallien tolérait largement. Quelques décades plus tard, un centurion et ses troupes arrivent à Cemenelum. L’émissaire de Rome recherche Cornélie. Le gouverneur prétend qu’elle n’est pas restée ici. Mais cet homme de pouvoir doit aussi ménager ses intérêts, quitte à trahir Cornélie. Grâce à Nertovalus et à Quintus, l’impératrice trouve refuge dans les quartiers modestes de la ville…

On retrace ici l’arrivée progressive des chrétiens, le travail artisanal de construction, et l’activité des thermes. Ensuite, la fiction constitue une très bonne illustration de la vie en ces temps lointains. On entrevoit le bas peuple, esclaves et prostituées, et surtout la caste des patriciens, bourgeoisie gallo-romaine. L’avènement de chaque empereur romain entraînait une succession tragique, sanglante. Le récit nous aide à percevoir ces drames. 
Les prochains livres dans cette collection... en novembre 2009 : "Le dernier Rempart - La chute du château de Nice en 1692" par Fabrice Anfosso (roman) et Marc Bouiron (Dossier Science) - en juin 2010 : "Le Rattachement de Nice à la France en 1860" à l'occasion du 150e anniversaire par Louis-Gilles Pairault (Roman) et Hervé Barelli (Dossier Science)

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22 juillet 2009 3 22 /07 /juillet /2009 06:19
 

Christian Denis vient de publier son 21e livre, "De Préfailles en Saint-Nazaire" (chez ECD). S'il nous propose souvent des thrillers souriants, ce roman est animé par une intrigue un peu plus sombre et mystérieuse. On y retrouve cette fluidité narrative, ce tempo souple qui donne de la légèreté à ses récits.

Architecte aux chantiers navals de Saint-Nazaire, Julien habite à Préfailles, au sud de l’embouchure de la Loire. Homme mûr, ce veuf vit seul chez lui, mais possède quelques amis. C'est par hasard qu'il rencontre un jour la jeune Aurore, 28 ans, qui vient de Grenoble. Aurore se promène à vélo dans cette région de Pornic. Après une soirée au restaurant, Julien héberge la jeune femme. Son passage risque d’être éphémère car elle s’en va dès le lendemain. Quelques jours plus tard, Aurore re-contacte Julien. Elle réalise que sa présence rend Julien heureux et, elle aussi amoureuse, s’installe bientôt chez lui. Aurore est bientôt attaquée dans le jardin de Julien. Bien que témoin, il ne voit pas l’agresseur. Sa version n’est pas crédible pour les gendarmes, qui soupçonnent vite Julien. Même son avocat n’est pas sûr du témoignage de son client. Hospitalisée, Aurore elle-même suspecte Julien. Des faits étranges se produisent dans sa chambre d’hôpital, mais nul n’a vraiment envie de chercher une explication. Julien en arrive à se demander s’il n’a pas commis inconsciemment cette agression. Alors que la juge d’instruction va l’inculper, deux militaires interviennent pour que Julien n’ait pas d’ennuis. À leur insu, Aurore et Julien sont mêlés à un projet secret, dont le mari de la jeune femme est l’un des protagonistes. Bien que protégé par des gardes du corps, le couple n’est pas à l’abri d’adversaires malintentionnés...

Pour Action-Suspense, Christian Denis a répondu à quelques questions.

Y a-t-il un mot que tu aimes particulièrement, et un autre que tu détestes ?

Christian Denis : J'aime bien porcelaine qui évoque ce qu'il y a de plus fragile, de plus délicat, alors que son étymon latin porcella signifie vulve de truie – ce qui est assez différent. Je déteste le nouveau verbe impacter, il me fait trop penser à empaqueté. 


Quelle est ton occupation préférée, à part écrire ?

C.D : Manger des huîtres, écouter de la musique concrète et répétitive, ou en écrire moi-même.

Quel est le seul romancier dont tu ne te lasses jamais ?

C.D : Balzac. J'ai tout lu. Dans les temps jadis, je sévissais pour la revue L'année balzacienne, éditée aux Presses Universitaires de France.

Aimes-tu les personnages que tu décris dans tes romans ?

C.D : Oui, surtout les plus décalés, les anarchistes de droite et les plus hara-kiriesques, si je peux me permettre ce néologisme.

Quand écriras-tu un gros roman de 500 pages ?

C.D : Je ne sais pas, mais je me dis qu'un si gros roman doit coûter cher au lecteur vu l'augmentation du prix du papier, et je suis partisan du polar pas trop cher.

Es-tu capable de définir ton principal trait de ton caractère?

C.D : L'opiniâtreté, ça contient de l'entêtement, mais c'est utile quand on veut s'en sortir.

A part toi-même qui voudrais-tu être ?

C.D : Un compositeur à la Pierre Schaeffer.


Quelle faute t'inspire le plus d'indulgence chez les autres ?

C.D : La négligence des accessoires orthographiques, parce qu'elle provoque involontairement des cocasseries telles : le palais des congres, l'entreprise de maconnerie.

On peut commander les romans de Christian Denis au 06.79.45.04.43
cliquez sur ce précédent article concernant Christian Denis 

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21 juillet 2009 2 21 /07 /juillet /2009 07:07
 

Pascal Polisset est un lecteur avisé, qui connaît et admire de longue date l'oeuvre de Patrick Mosconi. Il rend ici hommage aux deux derniers romans parus de cet écrivain. C’est avec plaisir qu’Action-Suspense laisse la parole à l'ami Pascal.


« Patrick Mosconi est un écrivain, à la fois, intriguant et passionnant pour au moins deux raisons.

D’abord parce qu’il écrit rarement. Ce qui pourrait n’être que le fait des éditeurs est, en fait, la conséquence d’une foule d’autres vies sourdes et passionnées qui mènent pas à pas, l’homme dans l’ombre et l’envahissent à la limite de la rupture d’existence. Heureusement et malgré lui, ces vies exigent, pour se poursuivre, quelques éclats sombres qui le ravivent et lui imposent quelques trop courts retours au pas ou au galop, l’auteur ignorant le doux balancement d’un trot de longue haleine.

Ses deux derniers livres : “Sans mot dit” (Editions La Branche, coll. Suite Noire) et “Mélancolies” (Seuil, coll. Romans noirs) écrits coups pour coups, le réinventent, en même temps qu’ils le réinvitent sur les festivals, sur les rayons des libraires.

Dernièrement, au festival du roman noir de Frontignan, un ami commun me disait : « Mosco écrit toujours la même chose depuis trente ans ». J’ai trouvé cette phrase d’une incroyable justesse : sous couvert d’un humour acide, le frère commun définissait cet écrivain.

Patrick Mosconi écrit une incessante invitation à un détour de lecture, un peu comme ces bras de fleuves que les aménagements ont mis en marge du cours principal, et qui reviennent lentement, inlassablement au cours principal pour donner leurs eaux jusqu’à l’estuaire, jusqu’à la mer immense. Dans ces bras, que les aménageurs nomment « morts », les naturalistes savent retrouver toute l’histoire du fleuve, toutes ces espèces vivantes qui ont été mises au rencard des exigences économiques et qui s’immiscent en permanence pour redonner de la vie au cours principal. Dans ces bras, au bout des doigts de l’écrivain, un clavier pour outil, ce sont ces vies reléguées qui imposent leurs existences face au flux tendu des certitudes imposées et si débilitantes.

Dans “Sans mot dit” l’auteur balade ses personnages au gré des événements et des misères qui les ont créés. Dans “Mélancolies”, nous sommes dans un huis clos, plus précisément dans plusieurs cercles clos. Chaque personnage reste confronté à sa propre histoire et se retrouve « hors de lui », obligé de « partager » ce qui lui est le plus personnel.. tout autour d’un silence pesant.. d’une incroyable convergence.

Ce qui est essentiel dans l’écriture de Patrick Mosconi c’est que, si « il écrit toujours la même chose depuis trente ans.. », la petite musique de fond de ces livres oblige de changer de disques pour les mieux apprécier. Pour ce nouvel ouvrage, j’ai choisi a contrario : Paolo Conte. Cela m’a aidé à passer les épreuves du récit. »

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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 09:17
 

Je l’ai proposée à Gérard, mais il n’y a ni résultats sportifs, ni comparatifs automobiles dans cette revue. Il ne lit que L’Equipe et Auto-Mag. Je voulais la donner à Jean-Louis, mais (magré un “espace de jeu”) on n’y trouve ni mots-fléchés, ni sudoku. Il est abonné à Sport Cérébral. Je l’ai montrée à Melissa, mais ça ne l’intéressait pas car il n’y a ni page beauté, ni horoscope. Elle lit tous les magazines féminins chez son esthéticienne. Kevin, ça l’faisait pas, vu qu’y a qu’les rubriques pop-rock-R&B qui l’branchent. C’est un lecteur de M.M.M. (MustMusicMag). J’ai tenté de le fourguer à Martine, mais pas de pages psycho et vie du couple (lectrice de Divorce Hebdo). Cindy a fait la grimace quand je lui ai répondu que la revue ne comportait pas de niouzes sur les pipoles (lectrice de ShitWorld News). Paulo le citadin, lui, ne cherche que les pages nature-voyage-découverte dans les magazines, pas intéressé (il ne lit que Bobo Nature Exclusif). Sans surprise, Édouard n’en a pas voulu, par manque de sujet approfondi sur les marchés financiers (faut-il préciser ses lectures habituelles ?). Une autre amie, à laquelle j’accorde l’anonymat par charité, l’a feuilletée avant de répondre : “Pfff, 95 pages de texte, pas possible !” (Elle survole uniquement les revues 99% photographiques). Avec Clarisse, membre de la SPA, le subterfuge a failli passer, mais elle n’a pas été dupe assez longtemps (abonnée à 30 millions d’Amis, of course). Quant à Marc et Sophie, abonnés à BricoloMensuel et à J.S.P.C (Je sais pas cuisiner), je ne leur même pas soumis cette revue.

Vous êtes témoins, j’ai pourtant essayé de faire la promotion de la revue TECKEL, publiée par Les Contrebandiers Éditeurs, 10 Euros. Une publication dirigée par Jean-Bernard Pouy.
(
http://lescontrebandiers.free.fr )


Alors, j’ai lu la revue TECKEL, et je me suis régalé…


[Le Dr Calvaire et le Dr Lutin, mes médecins traitants, certifient que leur patient souffre de dysesthésie lymphatique, se traduisant par des éclats humoristiques à peine drôles – aussi nommée "déconnite aiguë". Considérant qu'il n'existe aucun remède à cette maladie – non contagieuse – ils vous prient de m'excuser.]

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19 juillet 2009 7 19 /07 /juillet /2009 07:37

C'est une tradition du mois de juillet. Chaque année, de nombreux auteurs de polars donnent rendez-vous aux lecteurs à Concarneau. Pour son édition 2009, le festival Le Chien Jaune a proposé plusieurs animations, dont la diffusion du film de Nadine Monfils et un hommage de Christian Libens à Simenon. Au salon du livre, les visiteurs ont pu rencontrer des auteurs régionaux et des romanciers consacrés. Voici une sélection de vingt photos illustrant cet évènement
(reportage réalisé le samedi 18 juillet).
 

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17 juillet 2009 5 17 /07 /juillet /2009 10:01
 

Le roman de Colin Thibert “Vitrage à la corde est un des rares que je n’ai pas lus dans la collection Suite Noire. Toutefois, voici quelques éléments sur l’adaptation télé diffusée dimanche 19 juillet sur France 2, à 22h50.

Dans le nord de la France, Gabriel mène une vie tranquille auprès de sa femme Valérie, et de leurs deux enfants. Un soir, lors d’une fête organisée à son travail, Gabriel invite la stagiaire Bérangère à boire un dernier verre à l’extérieur. À la suite d’un malheureux accident de voiture où la jeune femme périt brûlée vive, Gabriel se débat pour éviter qu'on ne l'accuse du forfait. Manque de chance, à chaque fois qu'il essaye de bien agir, il faut que les événements se chargent de lui fourguer un cadavre. À force, il sympathise avec la mort, il s'en fait une bonne copine.

Pour goûter à cette histoire, voici la bande-annonce de ce téléfilm.

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17 juillet 2009 5 17 /07 /juillet /2009 06:16
 

Léo Tanguy est un cyber-journaliste exerçant en Bretagne. Beaucoup d’abonnés suivent ses enquêtes sur son site internet. Créé par Gérard Alle, Sylvie Rouch et Denis Flageul, ce héros de fiction poursuit ses aventures sous la plumes d’autres auteurs (dont Jean-Bernard Pouy et Thierry Daubrège. Intéressons-nous à l’épisode écrit par Jean-Noël Levavasseur : “Irish confit”  (Coop Breizh , 2009).

Léo Tanguy et son copain irlandais Sean se connaissent depuis l’époque où Belfast était encore minée par la guerre civile, il y a 25 ans. Par tradition familiale, Sean s’engagea pour la cause de son pays. Il passa de longues années en prison, avant de s’expatrier en Arizona. En provenance des Etats-Unis, le musicien Sean débarque en Bretagne pour une série de concerts dans des bistrots, une tournée de quinze jours organisée par Léo Tanguy. Pendant ces deux semaines, Sean va donner ses impressions sur le blog du site Internet de Léo. Au bout de quelques jours, Katell accompagnera Sean, afin de libérer Léo. En effet, le journaliste poursuit un reportage sur l’adaptation des Anglais en Bretagne.

Ambiance normalement agitée pour les premiers spectacles de Sean. De passage chez les parents de Léo, qui le considèrent comme un second fils, l’Irlandais sympathise même avec les amis Anglais du couple. Martin et Jennifer sont culturellement ouverts. Par contre, Léo relève sur son site Internet des messages menaçants signés Brian DeFreitas, un homme mort depuis longtemps, à Belfast. Au concert de Vannes, des Anglais malintentionnés cherchent la baston, mais ils sont vite calmés. Simple incident de parcours ? Léo et Katell s‘inquiètent. Les mêmes hooligans se manifestent au spectacle de Lorient, sans violence. Le Professeur Hugh Cornell, qu’interroge Léo, affirme que la grande majorité des Anglais installés en Bretagne sont pacifiques, même les paresseux qui n’apprennent pas le français. Néanmoins, certains peuvent avoir des choses à cacher, et des “enclaves autonomes anglaises” existent. Telle l’île d’Arz, dans le golfe du Morbihan, dirigée par Gordon Johnston. À Concarneau, les perturbateurs anglais sont rapidement refoulés du concert de Sean. Mais Léo et ses amis ne sont pas à l’abri de nouveaux et gros ennuis…

Ce “Tro breizh” (tour de Bretagne) de Sean est l’occasion de visiter quelques pubs connus. Et de se poser la question d’un éventuel envahissement britannique dans cette région. Par ailleurs, on retrouve quelques-uns des sympathiques seconds rôles habituels de la série, vite devenus familiers aux lecteurs. Sur une intrigue plutôt solide, entre flash-backs et interventions de Sean sur son blog, le récit progresse à bon rythme.

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16 juillet 2009 4 16 /07 /juillet /2009 06:07
 

Mercredi 15 juillet, la Maison de la Presse de Quiberon (56) organisait une rencontre dédicaces avec cinq auteurs de la région.
Simone Ansquer signait ses romans "
Aux tours de La Rochelle" et "Grain de sable à Saint-Pierre Quiberon" (Éd. Bargain). Michel Demars présentait "Lames de fond" (Liv’Éditions) et "Les draps de la honte" (Éd. Lucien Souny). Jean-Pierre Bathany dédicaçait "La veuve noire de Pornic" et "Maudit blues à Nantes" (Éd. Bargain). Jean-Jacques Egron proposait "Carton rouge à Rhuys" et "Noces sans retour en Morbihan" (Liv’Éditions). Et Serge Le Gall présentait "Coup fourré dans les Monts d’Arrée" et "Vagues à lames à Noirmoutier" (Éd. Bargain). Un choix varié pour les lecteurs qui étaient au rendez-vous en cette journée ensoleillée. Voici quelques images de cette rencontre.



















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