Pour la 11e année consécutive, le Prix SNCF du polar a été décerné. Il consacre Philippe Georget, prix du
meilleur polar français pour "L'été tous les chats s'ennuient" (Ed.Jigal) et l'Italien Donato Carrisi, prix du meilleur auteur européen pour "Le chuchoteur"
(Calmann-Lévy).
"L’été tous les chats s’ennuient" de Philippe Georget : C’est l’été, il fait chaud, les touristes sont arrivés et au
commissariat de Perpignan, Sebag et Molina, flics désabusés rongés par la routine, gèrent les affaires courantes sans grand enthousiasme. Mais bientôt une jeune Hollandaise est sauvagement
assassinée sur une plage d’Argelès et une autre disparaît sans laisser de traces dans les ruelles de la ville. Sérial killer ou pas, la presse se déchaîne aussitôt ! Sebag, à la merci d’un
psychopathe, va mettre de côté soucis, problèmes de coeur et questions existentielles, pour sauver ce qui peut l’être encore… Philippe Georget vient de publier aux éditions Jigal "Le paradoxe du cerf-volant".
"Le Chuchoteur" de Donato Carrisi : Depuis qu’ils enquêtent sur les rapts de cinq fillettes, le criminologue Goran
Gavila et son équipe d’agents spéciaux ont l’impression d’être manipulés. Chaque découverte macabre, chaque indice les mènent à des assassins différents. La découverte d’un bras appartenant à une
victime inconnue, les convainc d’appeler en renfort Mila Vasquez, spécialiste des affaires d’enlèvement. Gavila et ses agents vont échafauder une théorie à laquelle nul ne veut croire : tous les
meurtres sont liés, le vrai coupable est ailleurs.