Je ne parle que très rarement de « la vie du site » chez Action-Suspense. Me gargariser de succès, ça n'est pas ce qui intéresse les visiteurs. Vous aimez les chroniques, les suggestions de lectures, vous satisfaire est mon objectif. Sans prétendre faire l'unanimité, sûrement, chacun ayant le droit d'apprécier ou pas ce que je propose. Du moins, j'essaie de rester positif.
Un certain anonymat d'Internet permet à des gugusses de se défouler, de prendre pour cibles ceux qu'ils n'aiment pas. C'est mon cas avec un nommé Christian G. Il y a quelques années, un éditeur ami m'alerta en rigolant et en ajoutant que je méritais une médaille : sur un forum, ce Christian G.me traitait de « gros con, double con ». Que me vaut tant de haine de la part de cet auteur nantais (deux ou trois titres auto-édités, peu vendus) ? Je l'ignore. Je ne le connais pas, il ne m'intéresse pas. Je sais juste que cet olibrius se prend pour un rebelle, un anti-système, un anarchiste publiant « underground », vendant « sous le manteau » (ce sont ses formules, assez datées).
Il me semble que c'est plutôt un « nanar » qu'un « anar ».
Voilà que ce trublion minable récidive. Il n'a pas aimé que, dans un commentaire chez mes camarades du site Unwalkers, j'évoque mes bonnes relations avec Thierry Marignac. Vengeur, rageur, dépité, notre Christian G. squatte la page Facebook d'un autre blogueur pour vomir : « J'aime bien Le Nocher qui est passé tailler sa petite pipe, lui qui correspond à la virgule de connerie crasse près à ce que dénonce Marignac. » Quelle classe, non ? Cette réaction a été enlevée par l'ami blogueur.
Hélas, certains sont dépourvus du moindre talent. Alors ils agressent, ils insultent, ils ironisent, s'affichant marginaux. L'indépendance d'esprit, ça commence par le respect des autres. La médiocrité d'un Christian G. serait pitoyable s'il ne passait son temps sur Internet à cracher sur les lecteurs de polars, sur le monde de l'édition, auquel « il se refuse d'appartenir », ben voyons. Rien de grave, sans doute. Mais la bêtise crasse est perturbante.
Tournons la page.