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1 novembre 2013 5 01 /11 /novembre /2013 20:36

Né en décembre 1929, Gérard de Villiers est décédé à la veille de la Toussaint 2013. il a été le créateur de la série de romans d'espionnage SAS. Le prince Malko Linge, son héros, est un agent de la CIA, férocement anti-communiste. Probablement fut-il partisan de l'apartheid, en son temps. Avec l'essor d'Al-Qaida, il passa naturellement de l'anti-terrorisme à l'anti-islamiste. Au service du “monde libre”, Malko est donc anti-tout ce qui ne concerne les intérêts occidentaux. Un soldat de l'ordre mondial, parfois piégé, mais jamais vaincu.

Évidemment, Malko est un grand séducteur. Comment les espionnes ne tomberaient-elles pas sous le charme de son regard si pénétrant ? S'il y en a qui résistent, Malko utilise une technique psychologique de son cru, le viol. À peine a-t-il fait jouir ses conquêtes, que le voilà pulvérisant des quarterons d'ennemis lourdement armés. Les périlleux voyages à travers le monde, les plus dangereux adversaires, les situations les plus tordues, c'est la spécialité de SAS. Un héros de terrain, un vrai baroudeur.

Gérard de Villers est mort, SAS est en deuil

Quel lecteur quadra, quinqua, ou sexagénaire n'a pas lu quelques aventures de SAS ? Des couvertures calibrées, sexy ou flashy, des titres accrocheurs, des promesses d'érotisme et d'exotisme, supposées s'inspirer de la réalité du monde. On en lisait quatre, cinq, avant de s'apercevoir que c'était à peu près la même trame, quant aux intrigues. Avant de se lasser des prouesses aventurières de Malko, de sa splendide supériorité sexuelle, et de son corps comparable à un gilet pare-balles. Depuis plus de quarante cinq ans, SAS et les diverses productions Gérard de Villiers (dont Brigade Mondaine, L'Exécuteur, Blade) continuaient à se vendre. Bonne fidélisation des lecteurs, affirmait-on. Une soirée de lecture pour chaque roman, c'est toujours aussi distrayant qu'un programme télé inconsistant. Du roman qui restait populaire, sans doute. Néanmoins, les passionnés de littérature policière se sont rarement éternisé sur ces productions. Adieu Gérard de Villiers, mais il y a longtemps déjà que nous vous avons dit adieu...

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commentaires

A
Bonjour Claude et salutation d'un fidèle lecteur de votre blog!<br /> <br /> je me rappelle avoir lu jadis un excellent article de vous intitulé "Sexe et polar" consacré à la série "Brigade Mondaine". Hélas, à part votre contribution, il n'est guère facile de trouver, sur le net ou ailleurs, des infos relatives à cette série. Comme j'adore la littérature de gare (et je n'en ai pas honte, ce qui aggrave mon cas!) ça me frustre un peu! Une des personnes ayant réagi à cet article sur la mort de GDV évoque Philippe Muray ou Didier Goux comme possibles auteurs. Ceci m'incite à me poser une question: Michel Brice n'est-il donc qu'un nom fictif sous lequel diverses plumes ont oeuvré au fil des ans? Ou y a-t-il vraiment un Michel Brice et si oui a-t-il écrit les B.M. lui-même, du moins au début, avant de céder la place à des "nègres"? Merci de m'éclairer si vous le pouvez.<br /> <br /> Amitiés.
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C
Bonjour Antoine<br /> Une grande opacité a toujours été de mise autour du nom de Michel Brice, effectivement. Comme souvent dans les productions GDV (voir la série Blade), un pseudo collectif sert assurément dans ce cas, depuis le début. Quant à obtenir des infos, j'ai essayé mais je n'ai (sans grande surprise) pas obtenu de réponse. Je n'ai pas lu tous les Brigade Mondaine, bien sûr. Néanmoins, on sent des inspirations parfois différentes. Certains romans furent carrément "gore", d'autres ne visaient que l'exotisme. Et derrière d'autres encore, on devine une construction de scénario plus précise. Si le SM est la ligne éditoriale, ce qui crée une unité de la série, ça s'est donc exprimé sous diverses formes, sous la plume d'auteurs différents. <br /> Je continue à défendre le "roman populaire" et sa diversité, y compris à travers des livres actuels, récents, en grands formats et en format poche. Dès que j'en ai l'occasion, je reviens sur des titres plus anciens, car ils ne manquent pas de mérite. <br /> Merci de votre fidélité. Amitiés.
A
Bonjour Claude et salutation d'un fidèle lecteur de votre blog!<br /> <br /> je me rappelle avoir lu jadis un excellent article de vous intitulé "Sexe et polar" consacré à la série "Brigade Mondaine". Hélas, à part votre contribution, il n'est guère facile de trouver, sur le net ou ailleurs, des infos relatives à cette série. Comme j'adore la littérature de gare (et je n'en ai pas honte, ce qui aggrave mon cas!) ça me frustre un peu! Une des personnes ayant réagi à cet article sur la mort de GDV évoque Philippe Muray ou Didier Goux comme possibles auteurs. Ceci m'incite à me poser une question: Michel Brice n'est-il donc qu'un nom fictif sous lequel diverses plumes ont oeuvré au fil des ans? Ou y a-t-il vraiment un Michel Brice et si oui a-t-il écrit les B.M. lui-même, du moins au début, avant de céder la place à des "nègres"? Merci de m'éclairer si vous le pouvez.<br /> <br /> Amitiés.
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A
je suis bien d'accord avec Claude. Gérard de Villiers n'avait guère d'originalité, il avait un système bien rodé qui consistait à désigner les méchants - toujours les mêmes - par catégorie ethnique ou géographique. S'abreuvant au fil de l'actualité la plus immédiate il donnait l'impression au lecteur de comprendre quelque chose au chaos dans lequel nous vivons. J'ai lu les tout premiers, à leur sortie, c'est dire ! J'ai vite décroché parce que je trouvais ça mal écrit, et puis les catalogues à la gloire de la société de consommation et des produits de luxe, ça me saoule assez vite. Dans ses récits d'ailleurs les femmes étaient aussi des produits de consommation. ça finit par être un rien bêta
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C
Bonjour Alexandre<br /> Il est vrai que, non seulement Malko Linge est invincible, mais il vit dans le luxe - comme l'exige son statut princier. Et, sans doute pour la même raison, il n'est entouré que de femmes somptueuses aux poitrines opulentes et à la silhouette parfaite. Etant prince, d'une contrée moldo-valaque, le droit de cuissage lui est bien volontiers accordé. Qui plus est, son budget champagne et autres dépenses étant somptuaires, Malko fait forcément partie de l'élite.<br /> L'archétype du roman d'espionnage que nous sommes probablement quelques-uns à avoir laissé tombé tôt.<br /> Amitiés.
N
Bonjour Claude,<br /> C'est donc par toi que j'appris avec une certaine tristesse la mort de GDV, auteur de SAS qui avaient nourri mon adolescence, et pas uniquement par les quelques scènes érotiques, par de nombreuses aventures de 250 pages format poche bien ficelées, avec de l'action et du suspence, ainsi que dans des pays mystérieux pour moi - et exotiques. Evidemment, tous n'étaient pas de la même qualité, mais j'ai encore en tête certains épisodes redoutablement efficaces qui m'avaient marqué. Evidemment, toutefois, cet auteur était à part et ne se revendiquait même pas du polar, ne se prétendait pas non plus écrivain mais se considérait comme un &quot;conteur d'histoires pour adultes&quot; et un journaliste avant tout, ce qu'il a toujours été, perpétuant à travers ses romans la traditions des grandes enquêtes ou des grands reportages, certes romancés, à l'heure où l'on en trouve plus trop dans la presse tellement cela coûte cher.<br /> On ne peut que difficilement le comparer avec les séries qu'il éditait, encore moins avec les &quot;Brigade Mondaine&quot; écrite depuis des décennies par 4 ou 5 auteurs différents et renouvelés, bien que certains y aient passé plus de temps, comme Philippe Muray ou Didier Goux.<br /> SAS, c'était surtout des romans d'espionnage directement en prise avec l'actualité, l'auteur se rendait à chaque fois 2 ou 3 semaines durant dans le pays qui allait servir de cadre à son prochain roman, menait son enquête et bénéficiait d'un réseau de sources inégalé (services secrets, ambassadeurs, diplomates, grands reporters et journalistes, membres du renseignement, etc, etc), avant de revenir chez lui avenue Foch et s'installer derrière sa machine à écrire IBM pendant environ 1 mois pour écrire son roman. Même depuis 2 ou 3 ans où i avait été victime d'un AVC, il continuait à se rendre sur le théâtre d'opérations à risques en déambulateur, que ce soit en Libye, en Afghanistan, au Mali, en Syrie, etc.<br /> C'est pour cela que pour ceux qui ne connaîtraient pas, je leur conseille, si ça les intéresse, de lire les quelques articles parus récemment dans la presse, reconnaissance tardive pour un auteur qui a surtout eu le gros défaut d'être à droite en France où le milieu du polar a parfois été (ou est parfois) d'un sectarisme affligeant pour tout ce qui n'est pas gauchiste.<br /> * L'article de Jérôme Leroy sur Causeur.fr : http://www.causeur.fr/gerard-de-villiers-est-mort,24805#<br /> * L’article du New York Times en VO (« The spy novelist who knows too much »/&quot;L'auteur de romans d'espionnage qui en savait trop&quot;) : http://www.nytimes.com/2013/02/03/magazine/gerard-de-villiers-the-spy-novelist-who-knows-too-much.html?pagewanted=all&amp;_r=2&amp;amp<br /> * Le même article du NY Times traduit en français et publié dans Courrier international : http://www.courrierinternational.com/article/2013/11/01/gerard-de-villiers-l-auteur-de-romans-d-espionnage-qui-en-savait-trop<br /> * L’article paru cet été dans « M, le magazine du Monde », repris en postface du dernier SAS n°200, « Gérard, de Villiers, Itinéraire d’un réac » : http://www.lemonde.fr/le-magazine/article/2013/08/16/gerard-de-villiers-itineraire-d-un-reac_3461400_1616923.html<br /> <br /> Voilà pour compléter ton article; personnellement si je ne suis pas de gauche, je n'en suis pas plus de droite ou sur la ligne politique libérale et atlantiste de GdV pour autant, mais j'aime les homes libres, et la mort du père de SAS me fait un petit pincement au coeur...<br /> Amitiés,<br /> Norbert.
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C
Pour avoir tenté un ou deux J.B.Livingstone, sans savoir alors qu'il s'agissait de Christian Jacq, j'avoue avoir trouvé fades ces romans, mais il est vrai que j'étais déjà passé à bien d'autres polars. Dans le genre, on a eu aussi une pseudo Mary London, série Sir Malcolm Ivory, des romans plaisants écrits par Frédérick Tristan. <br /> Gecep/Vauvenargues réédita Serge Brussolo, mais je crois aussi Patrice Dard (Alix Karol) et même, me semble-t-il, Guy des Cars. Et pas mal de séries, plus ou moins vite avortées. Y compris des érotiques, sûrement très chauds. Sous le label Murder Inc, il y eut aussi Joe R.Lansdale et Chuck Logan. Quant aux premiers romans de l'amie Nadine Monfils, dont le commissaire Léon, c'était alors l'éditeur idéal puisqu'il s'agissait d'une série encore bien diffusée. L'Exécuteur, jamais lu mais je sais qu'outre les premiers vrais titres, ce fut ensuite l'expérimenté Gérard Cambri qui en fut l'auteur. Quant à ses dérivés, oublions-les vite. Des collections &quot;industrielles&quot;, ni forcément bonnes ou mauvaises, mais généralement codifiées et basiques (heureusement Nadine Monfils avait bien davantage de fantaisie). Il y a tant d'autres bons romans, noirs ou polars, à découvrir. <br /> La seule collection dont j'ai lu une quinzaine de titres, peut-être vingt, c'était Brigade Mondaine - afin d'écrire un article à ce sujet. En réalité, je voulais voir les recettes qui firent que cette série dure depuis si longtemps. Ben oui, il y a toujours des lecteurs, aussi étonnant que ça puisse nous sembler... Par contre, si de rares auteurs ont avoué travailler pour la société de GDV, strictement impossible d'obtenir le moindre chiffre des ventes (j'ai beaucoup cherché). Voilà une des facettes qui déplaisaient également dans le personnage de GDV, le boss à la poigne de fer. <br /> Amitiés.
N
Exactement, Claude ! Le fléau que constitue le mondialisme est - et va être - certainement la pire des saloperies connues sur cette planète. Car il englobe tout et tout le monde, ses opposants sont immédiatement neutralisés, traqués, ridiculisés, etc, mais aussi et surtout parce que TOUT (ou presque) est aujourd'hui infesté : les médias, le cinéma, les séries, la littérature de plus en plus; et surtout avec ce sentiment ou ce constat désespérant chez nos compatriotes qu'il ne peut exister AUTRE chose, un AUTRE système. <br /> Pour GdV, j'ai ajouté ces liens dans mon précédent commentaire pour compléter le portrait, moi-même il s'agissait de lectures adolescentes desquelles j'ai décroché par la suite pour les mêmes raisons que toi. Surtout quand quelques mois après, on découvre Dennis Lehane, comme ça a été mon cas ! (rires)<br /> Sinon, il y a aussi un autre point que je voulais aborder et qui risque d'en surprendre quelques uns, c'est que si on a connu Georges Pelecanos ou Kent Harrington en France, c'est aussi grâce à lui ! Je ne sais pas si tu t'en souviens ou si tu avais fait attention à ce détail, mais aux alentours de 1998-99, une petite maison d'éditions de polars était apparue, Murder Inc., et avait duré jusqu'en 2002 ou 2003, republiant ses titres dans la collection&quot;Murder Inc Poche&quot;. Dirigée à l'époque par Aurélie Tronchet, aujourd'hui traductrice, Ce &quot;label&quot; était relié à la GECEP qui publiait parallèlement les séries de gare comme BM, Blade ou L'Executeur sous le nom de Vauvenargues (et qui existe toujours, avec comme directrice éditoriale Anne Martinetti). À l'époque, GdV avait été ambitieux et avait publiée les enquêtes du Commissaire Léon de Nadine Monfils en poche chez Vauvenargues notamment, avait crée cette petite maison d'éditions de polars, ainsi qu'une autre petite maison d'éditions, spécialisée dans la littérature érotique, &quot;Le Cercle&quot; (en grand format) et sa déclinaison poche &quot;Le Cercle Poche&quot;, qui publiait non pas des romans de gare mais des auteurs contemporains, parfois des &quot;classiques&quot; du genre, et notamment &quot;Le Bal du diable&quot; de Nadine Monfils. Avec la GECEP, tout en continuant à éditer ses séries de gare chez Vauvenargues, il avait donc investi pour ces labels d'éditions grand format (dépourvus de son nom et de l'aspect racoleur qui y était lié) pour lancer de nouveaux auteurs américains de polars, et des auteurs français de romans érotiques, donc. Bon, le succès n'a pas été suffisamment au rendez-vous et quelques années plus tard, les 2 labels avait cessé d'exister (jusqu'à début 2006-2007 pour &quot;Le Cercle&quot;, quand même).<br /> Enfin, pour terminer, avant qu'il ne crée ce GECEP/Vauvenargues existant toujours pour la Brigade Mondaine, L'Executeur et son nouveau dérivé &quot;Kira B.&quot; (la fille de Mac Bolan, spécialisée en &quot;nouvelles technologies&quot; si j'ai bien lu la 4 de couv', série évidemment écrite par des français derrière le pseudo américain, comme pour l'Exécuteur d'ailleurs), il avait quitté Plon en 1987 pour auto-éditer ses SAS aux Editions Gérard de Villiers dès 1988. Et au tout début des années 1990, il avait édité une collection dédiée à Serge Brussolo, au rythme de 4 à 6 titres par an, ce qui m'a fait découvrir ce fabuleux (bien qu'inégal) conteur d'histoires fantastiques, parfois terrifiantes (j'ai quelques livres en particulier en mémoire, dont Krucifix si je me souviens bien, sur une île abandonnée et arrosée au Napalm où les plantes sont carnivores, par exemple). De même que j'avais lu avec avidité les enquêtes de l'inspecteur Higgins, collection nommée &quot;Les dossiers de Scotland Yard&quot;, et signées d'un certain J.B. Livingstone. C'était très &quot;Agatha Christien&quot;, et comme j'avais plus tôt beaucoup aimé les romans de la grande dame, j'avais lu ensuite cette série. En réalité, il a fallu que ces romans soient récemment rééditées par Jean-Claude Zylberstein chez J. Editions en moyen format (à 13 ou 15 euros le volume), MAIS sous le nom de Christian Jacq pour que je sache enfin qui était ce fameux JB Livingstone... <br /> Voilà, alors évidemment tout cela est un peu &quot;faussé&quot; car pour moi je n'avais ps lu de grands écrivains à part Agatha Christie et que j'avais à l'époque 13 ou 14 ans, mais ce sont des choses qui marquent...<br /> Désolé pour ce pavé de souvenirs et de détails que j'aurais laissé en commentaire, l'avantage de tout cela finalement, c'est que non seulement j'ai toujours beaucoup lu, mais aussi que, tôt ou tard, je suis venu au &quot;vrai&quot; polar et au roman noir ! ;)
C
Bonjour Norbert<br /> En tant que citoyen non étiqueté politique, tant qu'elles restent républicaines ou démocratiques, je n'ai rien à reprocher aux opinions de quiconque... Pas même à celles de Gérard de Villiers. Qu'il ait désigné Poutine, Khadafi, Chavez, Castro, etc. comme étant les ennemis de l'Occident m'importe finalement peu...<br /> En réalité, j'ai vite &quot;décroché&quot; de ses romans pour des raisons simples : un héros archétypal et des sbires pas moins caricaturaux, un schéma &quot;les bons gagnent toujours contre les méchants&quot; quand même trop basique, des contextes certes bien décrits mais sans originalité. Tel fut mon regard de jeune homme sur les quatre ou cinq titres lus.<br /> Quant au côté &quot;bien informé&quot; de l'auteur, c'est probablement vrai... en partie. Car nos services secrets ne sont pas moins doués que les autres pour instiller des infos pas fausses, mais incertaines. Souvenons-nous, pour ne citer qu'un exemple, du Commandant Massoud, admiré en France, détesté en Allemagne, sûrement manipulé par d'autres services secrets. Quelle était &quot;sa&quot; vérité, pas même GDV n'aurait pu le dire honnêtement. Idem pour la situation très très confuse dans certains pays africains, tel le riche Nigéria... ou, à d'autres époques, le Liban martyr. Donc, oui, il était bien informé &quot;à la source&quot;, mais -quoi qu'il l'ait soutenu jusqu'à son décès- la guerre froide a été supplantée par un mondialisme, qui fait autant de dégâts, en fait.<br /> Pour conclure, je pense qu'il méritait un hommage, mais je ne pouvais guère l'encenser, n'ayant pas été de ses fidèles lecteurs.<br /> Amitiés.
L
je t'avoue Claude que je n'ai jamais rien lu de lui, même si bien sûr, je connais l'auteur et le succès de son oeuvre. par contre l'ancien adolescent que j'ai été te confirme que j'ai souvent étudié de près ses couverture ! c'est bien connu que l'on s'instruit beaucoup avec les livres ! :) bonne soirée mon ami !
Répondre
C
Bonsoir Bruno<br /> Je m'éclatais nettement plus avec San-Antonio et Bérurier qu'avec les muscles de Malko Linge, je l'avoue... Autant j'ai lu quelques Brigade Mondaine, avec le noble objectif d'écrire un article là-dessus (voir le mag. L'Indic), autant SAS me gonflait. Et puis, j'ai découvert tant de meilleurs polars et autres romans d'aventure !<br /> Amitiés.

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